Origines :[]
Une petite fille était assise dans sa chambre. Ses cheveux en bataille était coiffés en deux petites tresses tandis que ses yeux noisettes fixaient la porte. Elle serra sa girafe contre son corps, écoutant la dispute entre ses deux parents.
"Je n'aurais jamais dû avoir d'enfants ! criait une voix grave. Tout ce qu'ils savent faire, c'est de faire des bêtises, se plaindre, dessiner sur les murs..." Il fut coupé par les cris coléreux de sa femme.
"Ce ne sont que des enfants, David ! Ils ne savent pas que c'est mal ! "
" La ferme Marybeth ! Je ne veux pas entendre tes excuses à deux balles ! J'en ai plus qu'assez d'eux ! "
" Et qu'est-ce que tu comptes faire ?!"
La petite fille entendait des bruits de pas venir vers sa chambre et elle serra encore plus fort sa girafe. La porte s'ouvrit violemment, laissant voir son père obèse et en colère. Il tenait un manuel dans l'une de ses grosses mains.
"David, arrête ça !" criait la mère. Mais le père ignora les plaintes de sa femme. Il attrapa la petite fille par le col. Elle criait et donnait des coups de pieds, paniquée et tremblante de peur. Le père frappa plusieurs fois la jeune fille avec le livre.
"Ça, c'est pour avoir dessiné sur les murs, sale petite peste !"
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Quelques années plus tard, la petite fille, connue sous le nom de Nathalie, avait maintenant neuf ans. Comme d'habitude, elle était assise dans sa chambre, regardant la télévision. Son père était en train de discuter à propos des problèmes économiques dont elle se fichait bien, mâchant du popcorn. Elle était aussi en train de dessiner. Il y avait un peu de gore dedans, mais étrangement, elle aimait dessiner du sang. Ça lui donnait une étrange satisfaction. Aussi, avoir plusieurs tâches n'étaient pas un problème pour elle. C'était logique à son âge, après avoir fait ses devoirs, qu'elle pouvait faire plusieurs choses à la fois. Dessiner était son talent et sa passion. C'était son moyen d'échapper à la réalité, chaque fois que quelque chose de mal se produisait, ou quand elle s'ennuyait.
Soudain, elle entendit un bruit un bruit, et elle regarda à sa gauche, s'arrêtant de mâcher ses popcorn. C'était son frère Lucas, qui était âgé de 14 ans.
"Oui, qu... Qu'est-ce qu'il y a ?" Elle entendait encore les cris de son père depuis sa chambre.
"Papa te fait peur ?" Il laissa échapper un rire.
"Pas du tout. Je pense que nous sommes habitués à ses cris maintenant."
Il y eut un long silence.
"Alors, pourquoi tu es là ?" Il semblait jouer avec ses manches, les tournant un peu.
"Je vais te demander quelque chose." Il posa les yeux sur elle.
Elle fronça les sourcils, commençant à s'impatienter. "Quoi ?" Il s'approcha.
"Tu ne voulais pas être cool et grandir comme une vraie adolescente ?" Elle répondit oui.
"Eh bien, j'ai une proposition."
"Eh bien vas-y, crache le morceau ! "
" ... Tu vois ce... ce que font les garçons et les filles de temps en temps ?"
Le jour d'après, à l'école, Nathalie ne dit pas un mot. Durant toute la journée, elle ne parla pas. Elle n'avait personne à qui parler. Et donc, personne ne pouvait le savoir. Personne ne DEVAIT le savoir. Et donc, personne n'était au courant. Son professeur était resté perplexe en la regardant, mais il s'était dit qu'elle n'avait pas compris la leçon. Nathalie avait ressentit comme un sentiment de souffrance. Elle n'avait aucune idées de ce qui pouvait la faire souffrir. Effrayée, elle rentra à la maison et alla silencieusement dans sa chambre. Mais plus tard dans la journée, elle fut une nouvelle fois violée par son frère.
Personne ne devait savoir.
A l'école, le jour suivant, elle décida d'en parler à quelqu'un. Même si elles n'étaient pas amies, Natalie sentait qu'elle devait le faire. Elle s'approcha du groupe de filles qu'elle avait l'habitude de voir dans le couloir. Elles avaient l'air gentilles et Nathalie leur avait déjà parlé occasionnellement.
"Hey... Mia..." La jeune fille rousse regarda Nathalie, arborant un visage honnête.
"Ouais ?"
"J'ai euh... vraiment besoin de te parler de quelque chose. Ça fait un petit moment, toi et tes amis que je voulais vous dire... Eh bien, je sans que vous êtes les seules personnes en qui j'ai confiance."
Mia et ses amis firent des sourires narquois, mais seulement pendant un instant. Nathalie s'imaginait qu'elles raffolaient de ragots. "Ok, tu peux nous faire confiance. Qu'est-ce qui se passe ?"
Un jour plus tard, elle recevait des remarques en permanence sur des réseaux sociaux comme Facebook. Une fois, quelqu'un l'avait traité de pute. Sans mentionner toutes les autres fois où elle se fit harceler. C'était loin d'être son seul soucis, pour Nathalie qui n'avait que neuf ans, et cela ne l'aidait pas, ça la bouleversait grandement.
Cependant, elle n'a pas cédé, et elle n'a jamais dit un mot à propos de ça. Comme vous pouvez vous en souvenir, elle garda tout pour elle. Elle pensait que ça irait mieux. Elle ne voulait pas que la souffrance prenne le dessus sur elle.
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3 h du matin. Sa mère allait la tuer.
La fille connue sous le nom de Nathalie avait maintenant 16 ans. Elle était très travailleuse au lycée, près du tableau d'honneur. Pour une fois, elle se sentais calme et heureuse. Bien que, comme d'habitude, elle devienne parfois un ermite dans sa chambre, se cachant loin de son père, qui aimait toujours crier et crier constamment sur l'économie, l'argent et la politique et touts les autres conneries qu'elle était fatiguée d'entendre.
Ses yeux ont commencé à se sentir lourds. Elle avait une tâche à accomplir, mais cela n'avait plus d'importance pour elle. Tout ce dont elle pensait, était le sommeil. Elle ferma son ordinateur portable et après que ses yeux se soient légèrement ajustés à la luminosité, elle vit sa vieille girafe en peluche dans le coin.
Elle la regarda dans le silence complet et absolu. Des souvenirs lui traversèrent l'esprit et elle sentit des larmes lui monter aux yeux. Mais rapidement elle leur fit un clin dil.
Clockys
" Plus de rupture " se dit-elle. Mais elle a continué à regarder la peluche. " Qu'est-ce que tu regardes ? " dit-elle à l'objet en peluche. Il regarda simplement en arrière avec des yeux doux, noirs et brillant. Elle secoua la tête et se leva. Elle regarda tristement le petit animale en peluche et le prit doucement entre ses bras. Elle le berça et lui parla doucement.
" Je suis désolée... " Des larmes coulèrent sur son visage. Elle caressa la fourrure rugueuse et courte doucement alors qu'elle s'allonge dans son lit. Elle s'endormit lentement.
Elle a été réveillée pour des grognement en colère de sa mère. Épuisée, elle ouvrit lentement un de ses yeux.
" J'ai encore oubliée de t'enlever cet ordinateur ! Tu y a passé toute la nuit n'est-ce pas ? "
Nathalie soupira et enfonça son visage plus profondément dans l'oreiller, serrant sa girafe plus près. Sa mère soupira et sortit. Elle prit une douche, déjeuna et brossa ses dents. Elle s'est ensuite habillée. Elle enfila un sweat à capuche gris/bleu avec de la fourrure à l'intérieur de sa capuche. Ce n'était pas son préféré, mais c'était le seul qu'elle pouvait porter à l'école car les autres étaient au lavage. Elle à également mit un jean noir et de mince bottes "à la mode".
Finalement, elle descendit les escaliers pour se rendre à l'école. Elle sauta dans la voiture et sa mère la conduisit.
Cependant, en chemin faute de sommeil, elle a lentement poser sa tête contre la fenêtre de la voiture et a commencer à dériver. Ses rêves ou plus précisément ses cauchemars consistaient d'une part en maltraitance physique et l'autre part en abus sexuelles qu'elle avait subit de la part de son propre frère, Lucas. L'abus avait duré 4 ans avant qu'elle est eu le courage de lui dire non. Elle a commencé a tremblé et a grincer des dents dans son sommeil. Sa mère ne faisait pas attention. Sa mère n'a jamais fait attention ni remarquer quoique ce soit. Soudain, elle fut secouer par le son de la voix de sa mère "Nous y sommes" a déclarée sa mère avec agacement dans sa voix. Très probablement d'avoir surprit Nathalie à nouveau endormie. Elle a regarder à nouveau le grand panneau de l'école disant "Walkerville Collegiate Institute for the Creative Fine Arts". Elle soupira avec fatigue et sortit, mettant son sac à dos sur son épaule.
"A bientôt", proclama-t-elle en refermant la portière de la voiture
Elle est entrée dans l'école et discuta avec quelques amis, jusqu'à ce qu'elle aille à son casier au troisième étage. Elle a attraper ses livres et avant la fin des cinq minutes, elle a couru en classe.
Son professeur d'anglais mit sa main sur le bureau de Nathalie, " Où est votre travail, Melle Ouellette ? "
Nathalie déglutit
" Je...euh...l'ai oublié à la maison. Désolée Mademoiselle Homenuik. "
" Votre temps est écoulé, Melle Ouellette. Ne me décevez pas. "
Nathalie sembla perplexe à l'idée, pendant un moment. Elle ne savait pas pourquoi, mais ces mots semblaient fondre en elle. Elle ignora simplement et recommença à écouter la leçon et à s'endormir peu à peu, bien sûr.
Plus tard dans la journée, elle se dirigeait vers son casier pour la quatrième heures, quand soudain, son petit amis Chris s'est approché d'elle.
" Hé, euh...on pourraient parler après les cours ? " Elle a souri. Elle adorait parler à Chris. A l'époque, elle ne se doutait de rien. Chris était toujours gentil avec elle.
Pendant son cour de Français, Nathalie ne faisait pas attention. Au lieu de cela, elle griffonné des choses qu'elle aimait le plus : du sang, des personnes poignardés, des couteaux et d'autres choses macabres. Certains diront qu'il est sombre de dessiner de telles choses, mais elle n'y voyait rien de mal. Pour une raison étrange, cela lui semblait normal.
" Melle Ouellette "
Elle couvrit rapidement les gribouillis sur son papier et leva rapidement les yeux vers son professeur de français, essayant de cacher sa peur.
" Euh, oui, M. LeVasseur ? " Avec un léger tour de tête, il lui fit signe de bouger son bras.
" Montrez moi votre travail "
Elle a déplacé son bras avec hésitation, montrant a son professeur l'image de quelqu'un poignardé par un fou. Le professeur la regarda, perplexe, la fixant un peu. Elle sourit nerveusement.
" Effacez cela et commencez votre travail " a-t-il dit d'une voix étrangement calme. Il s'éloigna et elle soupira et commença à effacer la photo.
" Et Melle Ouellette...." interrompit M. LeVasseur. Elle le regarda légèrement. " Votre temps est presque écoulé pour votre travail. Je vous suggère de le faire maintenant."
Elle grogna à la remarque. Le temps semblait toujours être contre elle. En ce qui la concernait, le temps pouvait la laisser tranquille. Après les cours, elle est sortie de l'école pour retrouver son petit ami debout près de la clôture sur le trottoir. Elle sourit et s'approcha, espérant qu'il avait quelque chose à dire qui lui remonterait le moral en ce jour misérable. Mais alors qu'elle s'approchait, son sourire s'estompa lentement. Il ne lui rendait pas son sourire.
" Chris, qu'est-ce qui ne va pas ? De quoi voulais-tu me parler ? "
Il soupira.
" Nathalie, je pense qu'il est temps que nous devrions...commencer à voir d'autres personnes."
Elle sentit son coeur se briser.
" Mais pourquoi ?! " cria Nathalie. Il lui a répondu avec un regard sévère.
" C'est ton état d'esprit. Tes dessins....Ils me font juste peur. Je pense qu'il y a vraiment quelque chose qui ne va pas chez toi. Et le plus triste, c'est que tu ne m'as toujours pas dit pourquoi tu agis comme ça. Cela me fait me sentir irresponsable. Donc, je ... ne peux plus le faire. Je suis désolé " Et avec ça, il s'éloigna.
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Nathalie claqua ses mains sur le comptoir de la salle de bain à sa maison. Elle se regarda dans le miroir, son oeil tremblant.
" Je-je ne me ferai pas de mal comme les autres. Je peux rester forte "
Il y avait une aiguille et du fil noir dans sa main.
" C'est inutile. Sa n'aide pas. " Une sensation étrange a attiré son subconscient. Elle gloussa légèrement.
" Non...je le fais parce que je le veux " Elle prit des ciseaux dans le tiroir du meuble, elle leva l'aiguille avec du fil au bout et sourit.
" Le temps est écoulé "
Morceau après morceau, coupe après coupe. Même si une douleur atroce la traversait, elle ne pleurnichait pas. Elle ne gémit pas. Elle n'a pas pleuré. Il n'y avait plus de larme à verser. Elle ne faisait que sourire. Du sang coulé sur les points, et faisait un faible bruit de goutte dans l'évier et sur le comptoir. Quand elle eut fini, elle recula et admira son travail. Elle caressa les horribles points de sutures sur les côtés de sa bouche, qui s'étalèrent en un large sourire.
Elle sentit le sang chaud et humide sur ses doigts et le lécha doucement, consommant le liquide au goût métallique en pure extase. Elle s'arrêta quand elle vit le reflet de sa ère dans le miroir derrière elle, et se retourna brusquement. Elle vit les yeux grands ouverts et le visage pâme de sa mère, et elle a regardé ses doigts, voyant le sang. Elle sentit soudain la douleur et se mit à crier et pleurer de souffrance.
" Maman !??" cria Nathalie. Elle ne s'était jamais sentie aussi confuse.
Que venait-il de lui arriver ?
Sa mère avait prévue une thérapie pour elle. Nathalie ne s'était pas débarrassée de ses points de sutures, de peur de la douleur que cela lui apporterait, alors elle est allée à la session avec eux. Elle s'assura que sa capuche était sur sa tête, pour ne laisser personne voir. Elle s'assit sur le siège en cuir confortable et regarda la femme blonde en face d'elle en silence.
" Alors tu t'appelle Nathalie, n'est-ce pas ? " Nathalie acquiesça.
" Je suis Debera et je suis là pour t'aider. Maintenant, dis-moi, Nathalie, quels ont été certains de tes problèmes récemment ? " Nathalie la fixa.
" Temps. Le temps a été mon problème. " Debera lui lança un regard confus.
" Quel est le problème avec le temps ? " Les mains de Nathalie agrippèrent le cuir du siège.
" Tout. Cela vous fait vivre a travers cela, progressant dans la vie, étant contrôlé par la société, seulement pour être torturé apparemment sans fin, jusqu'à ce que vous vous rendiez compte que vous n'avez plus de but. C'est un cercle vicieux. Le temps ne s'arrête pas. Cela ne ralentit pas. Cela ne s'accélère pas. C'est violent. Cela vous fait vivre la torture encore et encore, incapable d'avancer rapidement dans tout cela. "
Nathalie n'avait vraiment aucune idée de ce qu'elle venait de dire. Elle avait l'impression qu'elle n'était plus elle-même. Serait-ce à cause de tout ce qu'elle avait gardé contenu ? Non, c'était impossible. Mais pour une raison étrange, elle...aimait ça.
Le thérapeute se pencha plus près.
" Ma chérie, je veux que tu me dises ce qui t'est arrivé. "
Nathalie continua de regarder. Il y avait une longue pause. Elle sourit légèrement, les blessures de ses points de sutures s'ouvrant légèrement.
" Pourquoi tu ne me le dis pas, blondasse ? Tu es l'experte. "
Debera semblait légèrement agacée.
" Nathalie, je ne peux pas m'empêcher de me dire que quelque chose ne va pas "
Les doigts de Nathalie ont commencé à se déchirer dans le siège en cuir.
" Nathalie n'est plus là "
Avec cela, les yeux de Debera s'écarquillèrent et elle se leva.
" Je reviens tout de suite. S'il te plaît, reste ici " Elle sortit, laissant Nathalie seule. Peut-être que si elle avait fait quelque chose à ce stade, elle ne serait pas devenue ce qu'elle est aujourd'hui. Peut-être que plus de gens ne seraient en vie. Et peut-être qu'elle serait saine d'esprit comme elle l'avait était auparavant.
Autant j'aimerais dire que Nathalie ce serait levée de cette chaise et aurait empêché la suite de se produire, mais je suis obligée de vous donner la vérité horrible. Nathalie n'a pas bougé. Elle était assise parfaitement immobile, dans un silence total et absolument calme, sur cette chaise. Et après un certains temps d'attente avec impatience, ses parents sont entrés. Nathalie s'est levée, heureuse de partir, mais elle a remarqué les expressions de ses parents. Même son père avait une expression étrange et attristée sur son visage. Sa confusion a grandi , mais elle n'a rien dit et les a suivis jusqu'à la voiture. En chemin, alors qu'elle pensait rentrer chez elle, elle a commencé à s'endormir.
Étrangement, elle entendit une voix sombre parler dans son rêve. Cela ressemblait presque à la sienne, résonnant dans un abîme éternel.
" Ton temps est écoulé "
Elle se réveille, quelques gouttes de sueur coulant sur son visage. Elle n'était pas à la maison. Elle n'était pas dans la voiture. Elle était dans un lit. Un lit blanc. Dans une salle blanche. Elle regarda de son côté et réalisa qu'elle était connectée à un moniteur cardiaque. Elle a tenté de se lever, mais c'est à ce moment qu'elle a réalisé qu'elle était attachée. Elle a paniquée. Elle a commencé à lutter, mais s'est arrêtée quand elle a entendu une porte s'ouvrir sur sa gauche. Un homme en chemise blanche la regarda, les mains derrière son dos. Il ressemblait à l'un des médecins clichés que vous verriez dans une émission de télévision dans un laboratoire scientifique. Elle a prêté toute son attention à " Mr Scientifique" qui commença à parler.
" Je peux seulement imaginer a quel point vous devez être très confuse en ce moment" a-t-il dit, " mais je vous ferez savoir que nous sommes là pour vous aidez. Vos parents ont accepté de nous permettre de vous administrer des médicaments, dans l'espoir de vous aidez à améliorer votre état d'esprit " Nathalie ouvrit la bouche pour protester, mais fut rapidement réduite au silence.
" Vous n'avez pas besoin de vous inquiétez ", le médecin chercha à la rassurer.
" Vous serez de retour à la normale en un rien de temps. Essayez simplement de vous détendre. Il s'est approché et Nathalie essaya de s'éloigner avec hésitation, mais n'a pas put le faire en raison des lanières de cuir qui liaient ses poignets et ses jambes. Il a soigneusement mit un masque et l'a mit sur sa bouche et son nez. Elle a obstinément essayer de l'enlever, mais elle s'est sentie commencer à glisser sous les médicaments, et lentement, ses yeux se sont refermés.
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Soudain, Nathalie s'est réveillée. Elle ne pouvait pas comprendre ce qu'elle voyait. Elle a reçu plusieurs injections et quelques chose a été frotté sur sa peau. Elle se sentait droguée, mais était par ailleurs complètement présente. Elle était entré dans un état rare où le patient se réveille en pleine intervention, pouvant ressentir les interventions et ne pouvant pas bouger, seulement Nathalie a put. A ce moment là elle gloussait comme une folle. Elle sentie une douleur brûlante dans sa poitrine. Elle agrippa sa poitrine à l'agonie et tomba à genoux. Elle craché et était prosternée sur le sol par manque d'air elle s'évanouie.
Nathalie se réveilla lentement et légèrement droguée un peu plus tard. Elle se retrouva au lit et un médecin assis à côté.
" Je suis vraiment désolé, Nathalie. Quelque chose s'est mal passé...horriblement mal "
Nathalie ne savait pas pourquoi, mais elle ressentait une énorme haine envers le médecin. Il remarqua son dégoût et détourna les yeux instinctivement.
" Vous n'étiez pas censée vous réveillez pendant que nous vous donnions les doses pour votre état mental", a poursuivit le médecin. " Nous ne savons pas comment cela vous a affecté, mais nous avons le sentiment que nous allons le découvrir " Il s'arrêta un instant avant de sortir un petit miroir. Pendant tout ce temps, il détourna les yeux d'elle.
" Malheureusement, le médicament à également eu un impact sur votre apparence "
Nathalie se regarda dans le miroir et ses yeux s'écarquillèrent.
Ses yeux étaient complètement verts.
Elle a remarqué qu'elle avait également des points de sutures dans sa bouche, ils avaient traités ses cicatrices. Mais pour une raison quelconque, elle ne pouvait pas s'empêcher de se sentir...ravie
Son rythme cardiaque a recommencé à augmenter. Elle eut un petit rire.
Le médecin la regarda sous le choc alors que Nathalie se dirigeait rapidement vers lui, jusqu'à ce qu'elle se rapproche suffisamment pour qu'il puisse sentir son souffle.
" Docteur ", commença-t-elle, gloussant toujours. Il trembla légèrement et appuya sur un bouton situé sous le moniteur.
" Ou-oui ? " bégaya-t-il en réponse.
" Ton temps est écoulé "
Un grand cri a été entendu dans les couloirs de l'établissement. Deux gardes de sécurité se sont précipités dans la pièce, ouvrant la porte d'un coup de pied.
Du sang.
Le sang a été la première chose qu'ils ont vue. Du sang sur les murs, sur le lit, sur le sol. Même au plafond. Nathalie avait attaché le médecin à son lit. Le lit était plié à un angle aigu et la colonne vertébrale du médecin était complètement cassée. Du sang coulait de ses yeux, de son nez et de sa bouche. Et là, dans le coin, il y avait le meurtrier, dessinant joyeusement ses images horribles sur le mur de sang, à côté de la phrase griffonnée à la hâte : " Ton temps est écoulé "
Nathalie se tourna lentement pour regarder les gardes et un large sourire fou se répandit sur son visage.
" Bonjour, amis...v-voulez-vous...bien jouer ? " Et avec ça Nathalie a commencé à rire de façon incontrôlable. Les gardes ont rapidement sorti leurs armes, mais avant de pouvoir agir, Nathalie avait chargé l'un d'eux. L'un des gardes a tiré une balle, mais Nathalie pu l'esquiver de justesse. Elle a attrapé un grand couteau d'une gaine sur sa poche et l'a coupé juste en travers de sa taille. Le sang et les organes ont coulé et il s'est effondré au sol. Elle inspira profondément, aimant la puanteur humide de la mort. Le garde restant tremblait de peur et lâcha son arme. Elle s'approcha lentement de lui et plaça la pointe de couteau contre sa poitrine.
" Ton temps est écoulé "
Elle glissa lentement le couteau le long de sa poitrine, jusqu'au bout de son abdomen. Ses organes se sont répandus sur le sol et il s'est effondré, mort.
***************************** FIN TRÈS GORE ET HOSTILE VOUS SEREZ PRÉVENU*****************************
La mère de Nathalie dormait profondément dans sa chambre à côté de son mari. Elle se réveilla au son d'un tapement contre la porte. Elle se leva endormie et sortit de la chambre et se dirigea vers la porte d'entrée. Il pleuvait dehors et le tonnerre retentit au loin. Elle s'approcha de la porte mais s'arrêta avant de saisir la poignée.
Elle détecta un...faible bruit de rire insensé. La pluie et le tonnerre semblaient se calmer soudainement. Elle pressa son oreille contre la porte et écouta attentivement.
" Bonjour maman !! " cri une voix de l'autre côté.
Nathalie franchi la porte, brandissant deux couteaux. Sa mère recula, heurtant sa tête contre un porte manteau à proximité. Un des crochets a pénétré son crâne et elle saignait considérablement de sa blessure résultante. Elle est tombée au sol paralysée, mais toujours consciente allongée dans une marre de son propre sang. Nathalie la surplomba, puis montra fièrement ses deux lames trempées de sang;
" Je souffrais, maman..." roucoula Nathalie. Elle passa la pointe du couteau sur la joue de sa mère, la coupant légèrement. Nathalie pencha la tête.
" Mais tu n'as rien fait "
Tout ce que sa mère pouvait faire était de trembler et de haleter, comme un poisson hors de l'eau. Nathalie a attrapé sa mère et l'a doucement étendu à plat sur le sol. De là, elle l'a enfourchée et a commencé à couper un "V" dans sa poitrine. Sa mère ne pouvait que haleter et trembler alors que la vie lui échappait. Elle s'étouffa et gargouilla et ses respirations devinrent pénibles. Nathalie savait qu'elle n'avait plus beaucoup de temps. Elle a ensuite ouvert de force la cavité thoracique de sa mère avec une forte fissure, a tendu la main et a saisi le coeur encore battant de sa mère à main nue. Ses impulsions devenaient de plus en plus faibles. Soudain, elle l'a arraché, du sang coulant sur son visage. Elle regarda sa mère directement dans le visage alors qu'elle prenait ses dernières respirations.
" Fait de beaux rêves ", dit-elle au cadavre de sa mère.
" Ton temps était écoulé "
Elle mit le coeur dans la bouche de sa mère, lui tapota doucement la joue et se leva. Elle n'avait pas encore fini.
Le père de Nathalie, David, s'était réveillé et s'était rendu compte que sa femme n'était pas encore retournée se coucher. Ses yeux venaient juste de s'adapter à l'obscurité, quand il remarqua soudain Nathalie debout à son chevet, avec un sourire fou affiché sur son visage, et ses yeux nouvellement teintés de vert brillant dans la pénombre. Elle était couverte de sang et l'odeur était insupportable. Elle fronça les sourcils de façon spectaculaire.
" Oh, mon chère, maman est partie. Je me demande qui va recevoir l'argent ? " se moqua Nathalie
Elle attrapa rapidement le front de son père, riant de façon maniaque.
" C'est tout ce dont tu tes jamais soucié de toute façon "
Son père, contrairement à sa mère, était un combattant, et il s'est levé et a attrapé Nathalie par le cou, et l'a jetée à terre. Il a commencé à lui piétiner la poitrine jusqu'à ce qu'elle crache du sang, et il l'a regardée.
" S-sa n-ne te fait pas du bien, papa ? "elle rit malgré la violence et a craché plus de sang.
"A-après tout...ça ne ta jamais semblé gênant de le faire il y a touts ces années, non ? " Il plissa les yeux.
" Tu n'es pas ma fille "
Un sourire plus large se répandit sur son visage, et elle le regarda avec ses yeux lumineux, et du sang coulant de sa bouche.
" Tu as raison. Je ne le suis pas. "
Elle l'a soudainement fait trébucher, le faisant tomber durement au sol. Elle se remit sur ses pieds, les couteaux aux mains.
" Plus on est gros, plus on tombe fort "
Pendant qu'il était essoufflé, elle a attrapé un oreiller et l'a fourré dans son visage, puis a piétiné dessus, de plus en plus fort, jusqu'à ce que de forts craquements puissent être entendus. Quand elle a finalement retiré l'oreiller, le visage de son père était horriblement mutilé, et il faisait des bruits étouffés et pleurait d'agonie.
" Quel est le problème papa ? Trop de douleur pour toi ? "
Elle enfonça les deux couteaux dans son estomac et les laissa là, puis se déplaça pour arracher un des gros poteaux de bois lourds du lit. Elle l'a posé sur les jambes de son père et a retiré ses couteaux.
" J'en aurais besoin " gloussa-t-elle, et elle s'assit sur le poteau posé sur les jambes. Elle a commencé à basculer en arrière en s'asseyant. Le poids de son corps sur le poteau a lentement commencé à serrer ses entrailles à travers son corps. Il a commencé à gargouiller et du sang a coulé de sa bouche. Son souffle a été réduit au silence, et elle a frappé un petit accroc.
" Hhrm, allez !! " Elle grogna en se forçant à basculer en arrière avec plus de poids. Soudain, ses organes jaillirent de sa bouche. Le sang s'est empilé sur le sol sur les côtés de son visage. Elle hocha la tête vers sa carcasse et commença à sortir.
" Ton temps était écoulé "
Enfin, ce serait sa partie préférée. Elle se glissa doucement dans la chambre de son frère, ouvrant silencieusement la porte, du sang coulait de son couteau, émettant un faible bruit de tapotement tandis que les gouttelettes frappaient le bois dur, son frère n'était pas au lit. Il était évidant qu'il devait se cacher qulque part. Elle sourit.
" Oh cher frère, viens maintenant ... " Elle commença à entrer.
" Tout ce que je veux, c'est m'amuser un peu. HAhahahahaHAHAHAhahaah ! "
Alors qu'elle entrait de plus en plus, elle écoutait attentivement tous les sons. Toute respiration, tout mouvement, elle reniflait même l'air pour son odeur putride. Et plus elle écoutait attentivement, plus elle remarquait enfin quelque chose. Un faible bruit de respiration.....
BAM
Elle tomba par terre, tremblante. Son frère était derrière elle avec une batte de baseball maintenant ensanglantée. Il était furieux, en colère, haletant de rage. Elle a essayé de se lever lentement, mais il l'a frappée encore et encore.
" Maman nous a toujours aimé ! Espèce de salope !! " Il l'a frappée violemment une dernière fois, avant de prendre une pause. Elle saignait abondamment, ses yeux verts tombaient et brillaient faiblement dans l'obscurité. Elle se sentait faible et regarda de plus près le plafond. Elle se souvenait des jours qu'elle avait passés ici, à avoir été torturée, à avoir dû subir cela pendant 4 ans. Regardant ce même plafond maudit.
Cela a envoyé une ruée soudaine d'énergie dans son corps, et elle a commencé à se lever, en riant follement.
" HahahahahahAHAHAHAHAHAHAHAHAHhahahaHAHAHAHAAHH !!!!!! "
Son frère voulu l'a frapper à nouveau, mais elle a utilisé ses deux couteaux pour le bloquer.
Va En EnFeR fRèRe !!! " avec une grande poussée, elle a envoyé son frère voler sur le lit. Il se cogna la tête contre le mur et grogna de colère, sur le point de se jeter sur elle, quand elle poignarda à l'aide des deux couteaux ses bras en les maintenant cloués au mur. Il a crié et a lutté.
" Voyons voir ce que nous pouvons utiliser ici..."
Elle commença à marcher dans la pièce et sourit en voyant un simple couteau à beurre sur le côté du lit. Elle le ramassa et se dirigea vers lui.
" Ils disent que les yeux sont les organes les plus doux du corps... " Elle lécha lentement le couteau.
" Doux comme du beurre " Il avait l'air horrifié, essayant de s'échapper, alors qu'elle commençait à creuser ses yeux avec le couteau. Il hurla bruyamment et elle attacha rapidement un chiffon autour de sa bouche.
" Maintenant, maintenant, nous n'allons pas réveiller les voisins "
Il ne pouvait plus rien voir. La douleur était insupportable. Du sang coulait violemment de ses orbites. Il pleurait, mais était maintenant incapable de laisser des larmes couler.
" Hmmm..." Elle fouilla pour plus d'objets et prit une paire de ciseaux. Elle s'approcha de lui, rampant sur lui.
" Je pense que tu devrais couper ton frère lâche "
Elle a poignardé dans son ventre, et il cria dans un cri étouffer de douleur. Elle le traitait comme de l'artisanat et lui coupait la peau comme du papier. Elle souleva son gros intestin et eut un sourire narquois.
" Tu sais ce que j'aime ? L'art des macaronis " Elle a commencé à couper l'intestin en sections. Elle pouvait entendre le sang mousser de la bouche de son frère. Cependant, il du avaler le sang à cause du tissu autour de sa bouche.
" Ça n'a pas bon goût ? " Elle lécha son sang de ses doigts.
" Tu sais, j'aime bien " Il laissa échapper un autre cri étouffé.
Elle est descendue sur ses orteils et a commencé à les casser et à les arracher. Un par un. Au bout d'un moment, ses cris sont devenus inutiles. Sa gorge était maintenant crue et sanglante. Ensuite, elle a travaillé sur les doigts. Les casser et les arracher lentement. Le gargouillement devint plus fort et il commença à se tortiller. Il s'étouffait avec son propre sang. Elle retira le tissu et du sang coula de sa bouche. Il tourna la tête sur le côté et vomit violemment.
" Là, mon frère " dit-elle en lui tapotant la tête.
" Mange ça et tu te sentiras mieux " Elle fourra un de ses doigts dans sa bouche, le faisait se coincer dans sa gorge. Il s'étouffa et mourrut lentement.
" Ton temps était écoulé "
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La fille, connue sous le nom de Nathalie, entra dans sa chambre dégoulinante de sang. Au coin, elle l'a vu. Sa girafe en peluche. Elle s'agenouilla et le fixa. Puis, sans un mot, elle se leva et se dirigea vers la salle de bain. Se fixant couverte de sang, elle entendit un léger bruit de tic-tac.
Elle regarda ses mains se tournant lentement, écoutant le tic-tac pendant ce qui semblait être une éternité.
Elle sortit l'un de ses couteaux désormais rouges alors qu'il faisait couler beaucoup de sang sur le comptoir. Elle attrapa la petite montre de poche et démonta la montre jusqu'à ce qu'il ne reste que la petite horloge.
" Le temps nous fait vivre la torture " dit-elle, en portant lentement le couteau à ses yeux.
" Progresser lentement dans la vie, être contrôler par la société " Elle a commencé à le creuser lentement dans son oeil, alors que la vision dans son oeil gauche devenait floue et rouge.
" Jusqu'à ce que vous constatiez que vous n'avez plus de but " Elle sentit son oeil se détacher de son orbite, du sang coulant dans l'évier.
" C'est un cercle vicieux " Elle le sentit pendre hors de son alvéole, une douleur aiguë où il se connectait dans sa tête.
" Le temps ne s'accélère pas. Cela ne le ralentit pas. C'est violant. " Elle attrapa le cordon de son oeil et le déchira immédiatement, l'oeil tombant dans l'évier.
" Cela nous fait vivre une torture encore et encore " Elle a commencé à placer l'horloge dans son oeil.
" Incapable d'avancer rapidement loin de lui " Il y eut un petit bruit d'écrasement, et des gouttes de sang, jusqu'à ce que la pendule semblait parfaitement tenir dans sa prise.
" Je suis Clockwork "
La jeune fille de 16 ans, anciennement Nathalie, s'est éloignée de sa maison en flammes. Les flammes ont tout englouti. Et à l'intérieur, la girafe brûlant lentement, avec les carcasses de sa famille.
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Certains disent qu'elle vit toujours emportant sa folie avec elle. Laissant tant de morts, disant qu'elle décide quand leur temps devait se terminer. La seule façon de détecter sa présence est si vous vous blotissez contre les couvertures la nuit, en dormant profondément. Mais dans l'obscurité, elle regarde. Elle détermine.
Vous entendez des tiques.
Et vous voyez un flash vert de cet horloge putride...
Si elle est là...
Vous savez que votre temps est écoulé.
Histoire traduite par Eimeone
Apparence :[]

Clockwork a une peau de pêche pâle, de longs cheveux bruns en désordre et un oeil vert vif. Les vêtements qu'elle porte le plus souvent sont un sweat à capuche bleu grisâtre, avec une fourrure de couleur blanche sur les côtés de la capuche, un jean skinny noir et une paire de bottes noires jusqu'aux genoux. Ses traits les plus remarquables sont la petite horloge qui a remplacé son il gauche et les points noirs qui ont été cousus dans les coins de sa bouche pour ressembler à un sourire retroussé. Elle est très fine, mesure environ 1m72 ou 75, et pèse 50-55 kg.
Personnalité :[]
Avant de devenir une tueuse, Natalie était une jeune fille timide, polie et sophistiquée qui ne voulait rien de plus que de simplement profiter de sa vie en paix avec une famille aimante. Mais malheureusement, en raison de son éducation abusive, sa personnalité s'est sensiblement transformée en une épave déprimée, presque muette, engourdie et anxieuse. Et après la perte de sa raison, elle est devenue beaucoup plus réservée et sans émotion, car elle préfère garder ses sentiments cachés des autres jusqu'à ce qu'elle pense qu'il est normal de les laisser sortir.
Maintenant, en tant qu'adulte, Clockwork est très impétueuse et bouche bée, car elle dira presque n'importe quoi à n'importe qui, que cela les offense ou non. Cela vaut également pour sa nature sarcastique, mélangée à son sens de l'humour tordu. Quand elle rencontre de nouvelles personnes, elle apparaît souvent comme violente, sadique, désagréable et peu élégante.

Faits divers :
- Elle n'est pas en couple avec Ticci Toby, Nathalie ne ressens pas d'envie amoureuse
- Apparemment si son cadrant s'arrête sur vous, votre temps est écoulée
- Ayant perdu complètement la raison, il est difficile pour Nathalie de réfléchir comme nous
- Elle se base beaucoup sur le temps et pense lourdement a ses vengeances
- L'aiguille et le fil sont synonymes de "réparation", recoudre une plaie physique mais aussi mentale
- Créatrice : Tomorrow-Yesterday
- Elle mérite de vivre