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Origine :

« … attend… je… je ne sais plus qui est la vrai moi… qui suis-je ? »

« Si je devais me nommer je serais Enola, mais je ne m’appelle pas comme ça, ce n’est pas grave. Depuis le début je savais qu’il y avait quelque chose qui ne tournait pas rond chez moi, mais je l’ai malheureusement ignoré et je m’en suis rendu compte un peu trop tard. À dix ans pour temps, ça n’aurait pas dû être trop tard, mais si.

Ce qui s’est passé la dixième année de ma vie est un déménagement, un simple déménagement, mais qui a changé ma vie. Ce n’était pour temps pas la première que je faisais, mais là, après ça, plus rien, tout est vraiment reparti à zéro, « normal » vous dirait ? Mais j’ai changé, la petite fille gentille que j’étais, et devenue un garçon manquer qui passe son temps à se battre a insulté… aujourd’hui encore je ne comprends pas, tout c’est normal, je ne suis pas la seule avoir déménagé, à tout avoir repris à zéro, à se battre, a insulté à dix ans. J’ai aussi commencé à entends mon nom, il résonne dans ma tête, parfois je l'entends quand j'écoute des musiques, parfois quand je lis, parfois j'ai l'impression que l'on appelle alors qu'il n'y a personne. Quand j'entends mon nom, il est parfois dit de façon énervée, joyeuse, triste, désespérée ou encore de façon interrogative, et tout cela avec des voix que je connais, la voix de mes "amies" de mes "parents" ou d'autres encore.... Dans les moments où je suis triste, je n'entends pas beaucoup mon nom résonner dans ma tête, mais donc les moments où je suis heureuse... Je l'entends sans cesse, comme si c'était pour me rappeler que je n'en avais pas le droit, pas le droit d'être heureuse.... Même si c’est choquant, c’est la réalité.

Ha ! oui ! c’est ça ! la réalité… contrairement aux autres qui vivait dans le monde des bisounours moi je voyais la réalité, les gens naitre et mourir, gagner et perdre, rire et pleurer, les injustices et les mensonges, tout ça, je le voyais, et je croyais que c’était normal, mais une fois de plus, je n’étais pas la seule à vivre ça, alors pourquoi je suis la seule qui est devenue ce que je suis… POURQUOI ?! ... il existe plein enfant qui ont vécu les mêmes choses que moi, et même de chose pire, mais eux ils n’ont pas baissé les bras, alors pourquoi moi j’ai baissé les bras ? ... Bref... je ne vais pas m’énerver une fois de plus pour ça.

À parti du moment où j’ai commencé à me battre j’ai déjà commencé à avoir des envies de teste, de savoir, de connaitre ce que ça fais, en le violant de mes propres yeux, oui, de tester des choses, mais pas des p’tites expériences que l’on fait en chimie, plutôt voire de que ça fais si je mets un corps humain dans de l’eau 48H puis que je le mette dans un four à 500°C, ce que ça fais ci j’ouvre un corps en deux en gardant la personne concerner en vie et que je la fais manger, boire, etc., mais, surtout, ma préférer et celle que j’ai le plus hâté de tester, faire la vie de quelqu’un en citron, une personne que ne peut que manger et boire du citron, qui a plus de  citron de de sang dans son corps, lui mettre du citron dans les yeux, dans ces plais, sont cœur. Cette idée mes venu a partie du moment où j’ai commencé à boire du citron comme de l’eau, c’est d’ailleurs aussi à ce moment que les autres on commencer à m’appeler Lemon girl. Ce surnom me plaisait bien. Je voulais aussi savoir ce que ça fait le noir complet, le silence infini, sans même entendre mes propres pensées, manger un corps humain encore chaud. Et je veux connaitre ce que ça fait de ne plus voir, ne plus voir les gens qui me jette un regard noir de que moi je les regarde, les gens qui me juge, les gens qui tombe juste, car ils sont surpris que je les regarde. Je veux arrêter de voir le mal, mais pas pour autant littéralement perdre la vue, je veux juste voir le bon côté des choses. Je ne veux pas me sentir mal, je ne veux pas faire du mal, aux lieux de ça je veux me sentir bien… Non ! cette moi c’est le faux moi..., c’est qui déjà « moi » ?!?

Bref.

À partir de ce moment-là, j’ai commencé à devenir de plus en plus violente, tout le monde me détester ou avait peur de moi, inconnu, amis et famille. Et, contre peut être toute votre attente, ça ne me plaît pas, j’étais l’enfant que l’on juger dans la rue, l’amie que l’on devait supporter, l’enfant a problème de la maison. Je ne voulais pas, je me trouvais moi-même horrible et j’avais peur de devenir faible et que les personnes que j’ai fait souffrir se vengent sur moi…. J'ai de faux amis, mais aussi des qui sont vrais, ou du moins qui me répète qu'ils m'aiment, etc. et, etc.… Mais... Je ne peux à êtes leurs amis... Ils aiment la chose que je déteste le plus au monde... Je me hais, alors comment je pourrais aimer quelqu'un qui m'aime... Je n'y arrive pas... Ou très peu... Et puis de toute façon... À quoi ça sert ? Pfff... Je devrais les abandonner pour trouver mon petit paradis, un monde sans bruit, sans lumière, sans fatigue, sans rien, la mort. OUI ! LA MORT ... La mort...  Il faut d'abord que j'élimine les autres, le déchet... Ensuite, je pourrais l'éliminer, moi, qui sera devenu le plus gros déchet en ayant rendu tristes tellement de personnes, ayant fait peur a tellement de personnes, je mourais pour que le monde soit le plus parfait... Du moins, si j'arrive à tous les éliminer. J’ai regretté beaucoup de choses et j’en regrette toujours, mais dès que j’ai une occasion, je frappe, je bats les personnes qui se trouve à mes côtés. Et pour y remédier je me frapper moi-même, ce qui m’empêchait de frapper les autres, c’est de là qu’est née ma devise « si ça fait mal, c’est que ça fait du bien ». Mais, pour certaines personnes, mon envie de les frapper ne pouvait pas être retenue, ses personnes c’est les idiots qui n’ont pas les yeux en face des trous, les déchets humains. Vous là, ouais, toi, dit moi ce que tu ferais si un enculer se présenter à toi ? Hein ? Tu serais la personne qui le frapperait pour lui remettre les idées en place, mais peut être regretté et mordre la poussière après ou la personne qui fais profile bas et qui fuit comme un lâche ?

Moi je ne suis pas l’un, pas l’autre, je suis la personne qui fait profil bas, lui mette un coup dans le menton digne d’un crochet, qui regrette, et qui fuit, et qui se marre comme un fou. Je suis le mélange des deux. Mais encore une fois… je ne suis pas la seule qui fais ça, alors pourquoi ce chemin s’est ouvert à moi et pas aux autres ?!

Pfff… je pars en vrille, je suis là pour parler de mes origines, pas pour bavarder inutilement, surtout quand vous ne compreniez peut-être pas ce que je dis. Quand on dit mes origines, c’est raconter ma chiante vie ou dire comment j’ai fait pour en arriver là ? Bon, je vais prendre la deuxième option…

Donc, comme dis au paravent, la réalité, elle frappe toujours quelqu’un tôt ou tard, ce que j’ai remarqué en premier quand j’ai commencé à voir la réalité est ma famille, dans ma famille on avait tous deux personnalités, les parents et les enfants « modèles » s’aiment tous et rient ensemble, et, les l’autre nous, le père qui râle,,, car on est tous des bons à rien, la mère qui chiale au désespoir, les petites sœurs jumelles qui subissent la pression et qui joue des mauvais tours à tout le monde pour se relâcher, et, moi, « la vrai » moi, « la » moi qu’ils n’ont pas encore vu, car je la cache derrière une « fausse » moi, une moi timide et sensible, qui a peur de tout et qui l’est à en être énervante. Cette « vrai » moi c’est « là moi » qui passe son temps à se batte, à hurler de colère, là moi, là moi qui veut supprimer tous les êtres qui n’ont pas les yeux en face des trous, là moi qui veut éliminer tous les déchets de cette Terre.

Ha... Cette bonne vieille Terre, toujours salie pas les nôtres de toutes les façons possibles et imaginables. Cette idée me répugner et je mettais promise de faire en sorte de la nettoyer du mieux que je le pourrais. J’ai bien prévu les choses, alors j’ai décidé de m’imaginer toutes les situations possibles pour que mes plans marchent parfaitement, seulement je ne trouvais pas de solution pour éliminer les déchets de façon légale. J’ai dû m’y résoudre, je ne peux pas laisser des ordures se dégrader comme ça. Faire du mal à l’autre qui leur font confiance pour ensuite leur tourner le dos comme si c’était de leur faut et pas de la sienne ou  le fais que je vie que la vie toujours la même routine : je me lève, je mange, je fais en cour, je reviens de cours, je fais mes devoirs, je mange et je dors, je me lève, je mange, je fais en cour, je reviens de cours, je fais mes devoirs, je mange et je dors, les chaussons au pied et les cheveux emmêler, les tartines qui tombe et le jus de pomme périmé, les profs qui râle et qui nous mette la pression, le retour à pied avec les regards qui me juge et la musique à fond dans les oreilles, les exos compliqués, car je suis conne et que j’ai la flemme, les pâtes males cuites devant la TV qui énerve tout le monde, les mauvais souvenirs qui revienne pour t’empêcher de dormir jusqu’à ce que tu t’endors d’épuisement, les chaussons au pied et les cheveux emmêler, les tartine qui tombe et le jus de pomme périmé, les profs qui râle et qui nous mette la pression, le retour à pied avec les regards qui me juge et la musique à fond dans les oreilles, les exo compliquer,, car je suis conne et que j’ai la flemme, les pâtes mal cuites devant la TV qui énerve tout le monde et les mauvais souvenirs qui revienne pour t’empêcher de dormir jusqu’à ce que tu t’endors d’épuisement. J’en ai marre de ma voix, marre de mon visage, mare de mes choix, marre de mon nom. Marre de mon plaisir, marre de ma douleur, marre ma pression, marre de ton jeu. Marre de mes mensonges, marre de ma fatigue, marre de mes pleurs et marre de ma folie !

Moi, moi, moi et juste moi en boucle, c’est normal, mais c’est chiant.

J’ai voulu casser la routine, alors, lorsque tout était en meilleure position, j’ai fui, bien sûr, il y a eu des petits détails que j’ai loupés à la préparation du plan, je n’aurais pas pu tout prévoir du premier coup, mais j’ai réussi.

21h 30, l’heur ou je suis censé me coucher, j’enfile un T-shirt blanc, un pull blanc, un pantalon battel gris foncé, un bonnet noir, … mais, c’est là que viens le premier imprévu, ma mère entre dans ma chambre pendant que je me prépare. Surprise de ne me voir en pyjama, elle me demande ce que je faisais, je lui ai alors répondu sur un coup de tête que je regardais si les habiles allaient bien ensemble pour que je les mette le lendemain. Elle fut d’abord confuse puis elle partit, une foi la porte fermer, je poussai un soupir de soulagement et je me dépêchai de remplir un sac en bandoulière d’eau, d’un peu de nourriture, un fil épais, un bandeau, des pansements, des pétards, quelques clous, un Mp3, des écouteurs et le maximum d’argent (en y faisant le compte plus tard, j’en ai conclu que j’avais pris une somme équivalente à 247,32 euros). 21h 50, au moment où je devais être en train de mettre mes chaussures, je m’aperçus qu’elles n’étaient plus là, je me rendis compte que ma mère les avait prises en même temps qu’elle me demandait ce que je faisais. Maintenant, elles étaient surement dans l’entrée de la maison, ce qui posait un problème, car pour aller dans l’entrer, il faut passer devant mes parents qui sont surement, à l’heure qu’il est, en traient de regarder la TV dans le salon, la pièce qui sépare ma chambre de l’entrer, je voulais initialement passer par la fenêtre de ma chambre pour sortir vu que je suis au premier étage, mais ce deuxième imprévu fit que je devais changer mon plan. 22h 00, Il n’y avait pas trente-six solutions, je devais aller dans l’entrer, j’ai donc traversé le salon a toute vitesse, pris deux chaussures au hasard dans le noir et sorti dehors. 22h 10, après avoir parcouru deux rues, je m’étais dit que je pouvais m’arrêter, mais je vis d’un coup les phares blancs de la voiture aux fenêtres ouvertes de mon père. Ils avaient leur vraie personnalité, mon « père » hurler que ce n’était pas possible que je sois conne à ce point (alors que le jour d’avant il avait dit l’inverse) et a « mère » qui pleurer en disant que je ne pouvais pas leur faire ça. Quand j’ai vu qu’ils se rapprocher de moi, j’ai rapidement décider de me faufiler entre les maisons pour que la voiture ne puisse pas passer, le plus loin possible, en ne m’arrêtant seulement au moment où la douleur eu repris l’avantage sur l’adrénaline. 22h 25, aillent encore les chaussures à la main, je décidai de les enfiler, je me rendis compte que j’avais eu pas mal de chance, les deux chaussures étaient peut-être différant, mais il y en avait une droite et une gauche et à la bonne taille, c’était des chaussures montantes, une noire à lacets blancs au pied gauche et une blanche à lacets noirs au pied droit. Ils devaient surement me chercher, ou pire, ils pouvaient déjà être à la gendarmerie pour demander de l’aide ou quelque chose dans le genre, je devais me cacher, ce fut le troisième imprévu, normalement, je n’aurais pas eu besoin de me cacher. J’ai donc opté pour aller dans une forêt qui ne se trouvait pas très loin, c’était un choix prévisible, mais j’ai pris le risque. Comme j’allais souvent me promener dans cette forêt, je savais où je devais aller. Ma destination était une petite cabane à outil qui server a l’ancien garde forestier, elle est maintenant vide et inutilisée. Une foi arriver sur place grâce à mes souvenirs et à la pleine lune qui m’éclairer le chemin, je posai mes affaires, retirait mon pull et m’assoie à l’intérieur. Comme le bruit du vent et des arbres m’empêcher de dormir, j’ai mis mes écouteurs et j’ai écouté de la musique jusqu’à m’endormir.

Le lendemain, je me réveiller à cause de la faim et de la soif, tout en buvant une gorger de citron et en mangent une barre de céréale je me questionner sur le fait que je n’ai pas était trouver pendant la nuit. Mais bon, ça m‘était égal, je n’ai pas été trouvé, j’ai eu de la chance, point. Un peu après, je pris conscience que je n’avais pas pris de vêtement, j’ai donc enfilé mon pull blanc, mis la capuche, et j’étais parti. Sur le chemin pour aller au magasin de vêtement je passai devant un autre magasin, un magasin qui vendait de batte de baseball. Je me suis rapidement fait la réflexion que ça pouvait être une arme plus discrète que mon couteau et plus… satisfaisante. Je décidai alors d’y aller, une fois entrer dans le magasin je choisis rapidement de battes identiques, alla aussi vite à la caisse et paya la somme de 51,18 euros. Après avoir payé, le vendeur de demanda de rester, j’eus un frisson, mon insti me disait de partir, et il avait raison, je suis malgré tout rester, l’homme parti, et revins 4 minutes plus tard, il avait l’air différent. Il me dit :

-la.gendarmerie.ne.va.pas.tarder,.veiller.patienter.

Quoi ? L’adrénaline monta d’u coup, mes soupçons étaient bons et je suis quand même resté là planté comme une conne.

Par reflex, je tournai la tête et je vis une affiche avec mon visage, quelque mot étai écrie en dessous, mais je n’eus pas le temps de lire, mon corps bougé tout seul, il ramassa les deux battes, longe de 1,10 mètre en bois peint en noir, elles étaient plutôt légères. Une fois sortie je courus encore plus vite que la nuit dernière (surement par ce que je n’avais pas mon sac avec moi cette fois-ci, j’entendis deux sirènes de police, ça voulait dire qu’ils étaient en voiture, alors j’ai pris un chemin piéton. C’est fou, je n’ai rien fait de mal et on dirait que j’ai commis le plus grand délie jamais vue de la ville, bon, après tout, il ne se passe presque jamais rien pour occuper les gendarmes donc pour eu, ça doit être l’affaire du siècle. Je ne pouvais pas retourner « chez moi », dans la cabane à outil, sinon ils allaient me trouver et trouver ma « planque ». Je me cachai dans une petite ruelle d’un mètre de large, à l’abri des regards, je posai une des deux battes et pris l’autre à deux mains, mon idée était stupide, je venais de me coincer moi-même dans un cul-sac. Mais j’eus de la chance, les gendarmes, cette fois-ci à pied, passèrent devant la ruelle sans regarder, je cachai rapidement les deux battes avec un drap trouver par terre et la posa dans un coin de la ruelle. Deux gendarmes passèrent, mais je ne devais pas sortir j’avais entendu deux alarmes, les gendarme sont deux par voiture de recherche, celui qui conduit et celui qui cherche, il y avait donc 4 gendarmes minimum. Deux autres passèrent, j’attendis 30 secondes qui parut une éternité et je partis en courant dans l’autre sens, la voit étais libre. Au bout de quelque croisement, je ralentis pour marcher le plus naturellement possible en me cachant sous la capuche de mon pull et j’allai jusqu’à un parc, je me mis à labris des regards et attendis. À environ 2 heures de l’après-midi, mon ventre se mis a gargouillé, j’avais faim, mais je ne pouvais pas rentrer chez moi, je craignais qu’ils soient encore dans les parages, ou pire, qu’il ait trouver mon refuge et qu’ils m’attendent pour me tendre une embuscade, je n’ai pris que mon argent, il me reste maintenant 196,16 euros. Je pense pouvoir me permettre de m’acheter des sandwichs à la supérette du coin, il faut seulement que je ne me fasse pas remarquer.

Une fois à la supérette je ne m’attardai pas pour choisir une boite de deux sandwichs en triangle et une bouteille en verre de jus de citron (compte de l’argent à 196,16 – boite sandwiche triangle + bouteille citron). Une foi après être retourné au parc et à avoir manger, je me dis que je devais au moins aller voir si mon toit était toujours prêt à m’accueillir ce soir. Étonnamment, une fois arriver dans la forêt, tout était calme, même pas de petit promeneur égarer ou de gens qui font leur footing. Aucune trace de chaussures de gendarmes et pas de branche d’arbre détruite, tout était comme le l’avais laissé ce matin, on dirait que je me suis inquiété pour rien. Mais bon, veut mieux être prudent. J’avais bien fait de prendre une pelote de ficelle épaisse, car j’ai eu l’idée de quadriller la zone autour de la cabane à outil avec. En faisant passer le fil autour des arbres et à la limite des herbes, ce qui avant pour effet que si quelqu’un passait, il se prendrait les pieds dans la petite corde sans même l’avoir vu.

La nuit tomber, vers 22h 30, je m’endormis, mais je me réveillais souvent, car j’entendais les animaux toucher le fil, car oui, j’entent ce genre de faible bruit dans mon sommeil, surement à cause du stress. Vers 1h 15, je me réveillai pour de bon, car, dans un vague petit rêve que j’avais fait quelque instant au paravent, il y avait des battes de base-ball, je m’étais donc souvenu que je devais aller les chercher, là-bas, dans la ruelle, où je les avais cachés. Tout en espérant que les battes soient toujours où je les avais laissés. Je retirai mon pull et pris mon sac, et je partis en direction de la fameuse ruelle en trottinant pour être rapide, mais pas trop remarquable. Heureusement, elles étaient toujours là. Seulement, dans ma vague de joie, je n’ai pas vérifié si un capteur avait été mis. Et c’était le cas… le capteur s’était mis à sonner, deux gendarmes s’étaient précipités devant la seule issue, j’étais coincé. Mais j’avais les battes ! pendant que les deux gendarmes me faisaient leur baratin pour me dire de les suivre gentiment sans faire d’histoire, je mis les clous que j’avais pensé à apporter sur une des deux battes, ça faisait de ce simple outil de sport une arme mortelle. Ils remarquèrent que j’étais armée et donc sortirent leur matraque, j’avais l’avantage, comme je n’avais pas vraiment fait quelque chose de mal puis ce que j’ai « juste » fugué, ils n’avaient pas vraiment le droit de me déformer le visage ni le corps à vie, et de plus, j’ai une arme qui ont seulement assomme, mais tranche et arrache, alors qu’eux, ils peuvent juste assommer. J’ai l’avantage de l’arme, certes, mais ils on l’avantage du nombre, ils sont deux, voire même plus, il y a un homme bien plus grand que moi, mais plutôt maigre et un autre homme un peu plus petit, mais plus costaud. Je devais faire attention, d’autre pouvais venir, se serait idiot de leur par ne n’avoir rien prévue d’autre comme surprise pour moi. Je brandis mon arme en direction du plus grand en réfléchissant, si je devais me faire poursuivre par l’un des deux après avoir assommé l’autre il faudrait que se soit le plus petit, car les plus grands est surement plus rapides que moi, alors, si je veux avoir une chance, se sera contre l’autre. Le plus petit des deux s’avança, aussitôt que le l’avais remarqué je le mis en joue. Ils se rapprochaient doucement l’un après l’autre, et alors que le plus grand se trouver à porter de coup, je fonçai en avant le plus rapidement possible, je me frayai un chemin entre les deux et me retourna avant eux. À cet instant, cet instant crucial où ils me tournaient leur dos, j’enfonçai de toutes mes forces la batte dans le crâne du maigre.

           Mais il l’esquiva, ce qui me redonnait un peu plus confiance envers les gendarmes de ma ville. Une vive pensée me traversa l’esprit, c’est des gendarmes, ils sont sensés nous protéger, nous aider, me ramener gentiment, et non pas m’attaquer, je n’ai encore rien fait de mal. Cette pensée m’a retourné l’esprit, de basse je ne voulais pas les tuer, car ils faisaient juste leur boulot, mais maintenant, c’est différent, ils sont morts.

J’accéléra la cadence, je me pris un coup de matraque, je ne sais même pas de qui, puis je sautai pour être à hauteur égale du plus grand et lui donna un coup de batte dans la nuque coup. La tête ne se décrocha pas contrairement à ce que je voulais, mais bon, on n’est pas dans un cartoon. Il était inconscient, peut être mort, je ne pouvais pas le savoir. Je n’avais pas le temps de ramasser ma batte, l’autre allait me sauter dessus si je m’y attardais. Je courrai aller chercher l’autre et parti en courant. Pendant que je courais je passai devant un lieu protéger par des barbeler. J’en arracha pour en mettre au travers de la route de mon poursuivant. Quelque mètre plus loin je m’aperçue qu’il y avait un morceau de barbeler accrocher à mon t-shirt, je le pris pour le mettre autour de ma batte de base ball pour la quelle je n’avais pas assez de clou.

Je courus jusqu’à que le gendarme ne puisse plus me voir et me plaça de dans un angle de rue de façon a ce qu’il ne me voit pas, et dans ils passa devant moi, je lui fracassai le crane avec la batte et lui arracha la peau avec les épines des barbeler. Une odeur de sang s’installa dans l’aire, c’est bon, j’en avais fini avec ces deux-là…

           Après avoir retrouver mes esprits de là « moi » plus timide je remarquai que je n’étais pas essoufflée, pas trop blesser mais surtout que j’avais adorer ce moment. Mais je ne devais pas baisser me garde, le gendarme a peut-être, surement appeler des renforts. A moi qu’il ne croyait que je fusse juste une petit frêle jeune fille qui avais eu un coup de chance contre son co-équipier.

           Des chiens aboyèrent. L’odeur du sang a dû les stimuler, je ne devais pas rester ici, alors je couru dans une forêt qui se situer non loin. Une forêt que je n’avais jamais remarquée, et pourtant je couru, je couru, à en perdre mon souffle. Quand je m’arrêtai pour reprendre mon souffle je me questionnai sur le temps que j’avais couru, et la distance que j’avais parcouru. 12 Km? 1 heur ? 6 Km ? 30 minutes ? 3 km ?  20 minutes ? 1 Km ? 5 minutes ? je ne sais pas, je ne veux pas le savoir, je ne le saurais jamais. Pendant que je pensais à tout ça, un clappement de mais se fi entendre, puis un autre, qui partit en applaudissement. Je me redressais, me mis dos contre un arbre, pris ma batte, la mise devant moi, prête à frapper. Une fois en place, je criai : « qui est là ? montre-toi ! ». Mais personne, aucun bruit, aucune silhouette dans l’ombre, mais une présence, je la sentais, je la ressentais, l’atmosphère étais pesant, ce n’étais pas n’importe qui, j’en étais sûr. Je tremblais, pas de peur mais d’excitation, j’avais adoré le moment qui c’étais passe un peu au paravent, un feu d’artifice de sang. De plus c’étais dans la forêt donc je pourrais faire n’importe quoi du cadavre, c’était prometteur. Je hurlai : « aller…, montre-toi, je sais que tu es là » en gloussant un peut à la fin. Et une silhouette apparie dans l’ombre, à une petite dizaine de mettre, je n’arrivais pas à bien la distinguer quand tout un coup. Un rayon de lumière de fendit un passage a t’avère les arbres pour l’éclaircir comme si c’était un revenant.

C’était un homme qui devait mesurer entre 1m70 et 1m75, un peu plus ager que moi, il portait des lunettes orange et un masque couvrant sa bouche, un sweat à capuche rayé aux manches, un jean bleu et des chaussures noires et il avait deux haches avec lui.

Une voix dans ma tête résonna : « ne l’attaque pas », je clignai des yeux, « aie confiance en lui », je baissai ma batte, « oui... », je secouai ma tête, « c’est une aide », je me frottai les yeux et quand j'ai regardé à nouveau, il n'était plus là. J'ai regardé dans une autre direction et soudain, je l'ai vu, face à face, très près de moi. Puis il dit doucement, presque en chuchotant : "Sors de là... Je te connais, tu n'as rien à me cacher". Il ne semblait pas vouloir m'attaquer, alors j’ai cru la voix dans ma tête, et j'ai demandé qui il était. Il répondit sans hésiter "Mon nom est Toby, et toi ?". Je voulu répondre mais la voix me dit juste avant que je prononce mon nom « non… NON ! pas ça, ton vrais non, je nom de la vrais toi ». Quelque chose de différent est sorti de ma bouche : la fille citron. Il répondit : "Ravi de vous rencontrer, Lemon Girl". Maintenant, viens avec moi". Il s'est mis à marcher et je l'ai suivi, sans même imaginer que j'avais trouvé un refuge.

Lemon Girl

Apparence :

Maintenant Enola mesure un peu plus de 1m 70, pour un âge de 16ans et demi, elle porte un sweat à capuche blanc, son bonnet noir, un pantalon battel noire a sangle avec une ceinture à carreaux noirs est blanc et ces chaines (pas très pratique pour courir, mais utile pour frapper quand les battes sont oubliées), des chaussures montantes, une noire à lacets blancs au pied gauche et une blanche à lacets noirs au pied droit. Elle porte un masque qu’elle ne met que quand il y a beaucoup de monde et un bandeau noir sur les yeux avec le quel elle peut voir au travers. Elle possède un sac et deux battes avec elle, une avec des clous rouiller et une avec des barbelés qu’elle perdra durent un assassina.


Personnalité :

Malgré le fait que Lemon girl s’énerve facilement elle peut être très calme et faire preuve de beaucoup de sang-froid.

Elle analyse vite la situation est trouve quasiment tout le temps de solution.

Sont envie de tuer tout personne faisant du mal n’atteint pas les creepypasta car elle considère qu’ils « nettoient » aussi

Elle a peur que de décevoir les autres donc elle se donne toujours à fond et relève tous les défis


Faits divers :

- Âge 2018 : 14 ans

- Si elle n’avait pas fui, elle serait surement morte ou gravement blessée dans un accident de bus le lendemain

- Elle n’est pas inquiète de se retrouver a mains nu contre un adversaire car malgré le fais qu’elle est plus forte avec une batte, elle sais bien se batte, elle sait faire de la boxe et d’autre style de combat

- Elle aime beaucoup X-Virus, ils partagent un peux les mêmes envies et donc s’entendent bien

- Elle n'est pas réellement un proxy mais plus un Homme de mains comme Toby

- Elle est lesbienne

- Elle prévoit de se tuer quand elle considérera qu’elle a assée nettoyé la terre pour qu’elle soit saine car elle se considère comme une ordure de plus à éliminer

- Mbti : INTJ


histoire écrite par : LG

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