Wiki Creepypasta
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Introduction[]

✸ Voici une vidéo qui explique cette creepypasta (si vous êtes plus à l'aise avec le format audio) :

https://www.youtube.com/watch?v=KhpWRYKgpsM&ab_channel=MadStalker

et si jamais vous n'arrivez pas a cliquer sur le lien, le youtubeur qui a fait cette vidéo s’appelle :

@MadStalker

https://www.youtube.com/@MadStalker/featured

Résumé[]

Le jeune Isaac Grossman, sept ans, solitaire et mélancolique, voit sa vie changer lorsqu'un matin du 25 décembre, il trouve près de son lit une mystérieuse boite en bois coloré. Cette boîte renferme Laughing Jack, un clown multicolore, qui devient vite son meilleur ami, et avec qui il partage de nombreux jeux amusants. Malheureusement, après l'incident conduisant à la mort du chat des voisins de la famille Grossman, le petit Isaac est envoyé en internat, et doit dire au revoir à Jack, qui reste enfermé dans sa boîte pendant treize longes années. Il perd peu à peu ses couleurs vibrantes, pour devenir une pâle copie d'un film en noir et blanc.

C'est alors qu'après la mort de ses deux parents, Isaac est enfin de retour dans la demeure de son enfance. Il semble avoir complètement oublié son ami Jack, qui est si content de le retrouver. Mais rapidement, il se rend compte que quelque chose a changé chez son ami tant aimé. Particulièrement lorsque il se met à assister régulièrement à un nouveau jeu macabre, consistant au meurtre sanglant d'enfants, adultes, et d'humains en tous genres.

Les origines[]

C'était la veille de Noël dans un Londres enneigé, en plein coeur du XVIIIe siècle. C'est dans une petite maison à la périphérie de la ville que vivait un jeune garçon de tout juste sept ans, de nature solitaire, nommé Isaac. Isaac était un enfant triste et sans amis. Tandis que la plupart des enfants passaient du temps avec leurs familles en attendant avec impatience l'ouverture des cadeaux qui avaient été placés avec soin sous un arbre de Noël magnifiquement décoré, le petit Isaac passait cette nuit seul dans le grenier froid et poussiéreux.

Les parents d'Isaac étaient très pauvres. Sa mère était une femme au foyer stricte qui avait déscolarisé Isaac. Son père travaillait de longues heures au port de Londres pour soutenir sa famille, même si une grande partie de ses gains servait à l'achat et la consommation de grandes quantités d'alcool à la fin de son quart de travail. Parfois, il rentrait ivre après avoir été chassé de tous les bars de Londres.

Occasionnellement, il était violent et battait sauvagement la mère d'Isaac. Puis, lorsqu'il avait fini, il avait pour habitude de satisfaire ses besoins sexuels de domination. Comme il était rentré cette nuit-là, le schéma malheureusement habituel était destiné à se reproduire.

Isaac se contenta de rester calme, frémissant sous ses draps souillés jusqu'à ce que les cris et les détonations se calment enfin. Il réussit finalement à s'endormir. Cette nuit là, il rêva de quel goût la vie aurait avec un ami pour jouer, peut-être qu'il pourrait rire et être heureux, de même que les autres enfants de Londres...

Heureusement pour le petit Isaac, en ce jour sacré, sa solitude attira l'attention d'un magnifique ange gardien. Il était affublé de grandes ailes blanches ; ses cheveux tombaient en de nombreuses boucles dorées et ses yeux semblables à des perles nacrées demeurèrent confus devant un enfant si malheureux. Il élabora alors un cadeau très spécial pour le petit garçon triste de Londres.

Le soleil se levait sur le matin de Noël. Isaac ouvrit ses yeux fatigués, pour trouver une étrange boîte en bois posée au pied de son lit. Il écarquilla les yeux dans la crainte, il regardait la boîte artisanale colorée en se demandant qui l'avait laissée là. Il n'était pas habitué à recevoir des cadeaux, et surtout pas des jouets. Isaac se faufila jusqu'au pied de son lit, se tint en face de la boîte mystérieuse et la ramassa avec les deux mains. La boîte était magnifiquement peinte dans un style joyeux et coloré, des clowns souriants sculptés sur le côté. Il y avait une étiquette sur la boîte qui disait tout simplement : "Pour Isaac." Sur le dessus de la boîte, il y avait un texte gravé.

Isaac plissa les yeux pour lire les mots: " L-aug-ing-J-Jack-in-a-b-box ... " il s'arrêta, "... Laughing Jack in a Box? " Isaac avait entendu parler d'un Jack dans une boîte, mais jamais d'un Laughing Jack dans une boite. Avec curiosité, il saisit la manivelle de métal de la boîte. Isaac tourna la manivelle et la chanson "Pop Goes The Weasel" sonna en rythme avec les fluctuations de la manivelle. Comme la chanson finissait, Isaac chanta avec le dernier verset, "Pop goes the weasel." Mais rien ne se passa. Isaac poussa un soupir. " C'est cassé ... " Il plaça la boîte sur le bord du lit, et se glissa de nouveau dans celui-ci pour finir sa nuit peu paisible.

Soudain, Isaac entendit un bruit provenant de la boîte à laquelle il tournait le dos. Il se retourna et vit le cube de bois trembler violemment. Puis, d'un coup, le haut de la boîte s'ouvrit et un défilé de fumée colorée et de confettis en jaillit. Isaac se frotta les yeux, incrédule. Comme la fumée se dégageait, il vit un grand homme mince multicolore, un clown avec des cheveux rouges vif, un cône arc-en-ciel en guise de nez, les épaules plumeuses, et un équipement de clown coloré. Le clown écarta les bras et, tout excité, annonça : " Venez, venez tous ! Petits et grands ! POUR VOIR LE MEILLEUR CLOWN DE TOUS ! Le seul, l'Unique, Laughing Jack in a box !" .

Les yeux d'Isaac s'illuminèrent. "Q-Qui es-tu ?" demanda-t-il. Le clown coloré sauta du lit et dit avec un sourire heureux : "Je suis content que tu te poses la question ! Je suis Laughing Jack, ton nouvel ami pour la vie ! Je suis magique, je ne me lasse jamais de jouer, et je change en fonction de ta personnalité... En d'autres termes, tout ce que tu voudras !" Isaac leva les yeux vers le mystérieux bonhomme. "H-hein, on est a-amis...?" il bégayait tant la stupeur l'engourdissait. Jack regarda le garçon tout en levant un sourcil. "AMIS ? ON EST MEILLEURS AMIS ! J'ai été spécialement créé pour être ton ami, je ne suis pas si imaginaire, Isaac!" La mâchoire d'Isaac en tombait. " Tu connais mon nom ?" Jack laissa échapper un rire lunatique. "Bien sûr, je connais ton nom. Je sais tout à ton sujet ! Donc, maintenant que les présentations sont faites... Tu veux jouer à un jeu de... Je vois quelque chose de... ?". Isaac sourit jusqu'aux oreilles. "VRAIMENT ?!  Nous pouvons jouer à des jeux ? Oh SUPER !... Oh..." il s'arrêta. "Je ne peux pas... Je dois aller en bas pour voir mère pour mes devoirs et mes tâches..." Son sourire disparut dans la déception. Jack posa sa main sur l'épaule d'Isaac et dit avec un sourire chaleureux : "Ça va aller, je vais t'attendre ici." Isaac sourit et regarda son nouvel ami. C'est alors qu'il entendit la voix stridente de sa mère lui demandant de venir en bas . "Eh bien, je dois y aller. On se voit plus tard, ok Jack?" dit Isaac alors qu'il se dirigeait vers la porte. Jack sourit : "Absolument, gamin ! Oh, et Isaac !". Isaac regarda Jack qui lui fit un clin d’œil et dit : "Tu devrais sourire plus souvent, ça te va bien." Isaac sourit joyeusement, se tourna, et se dirigea vers la porte.

Toute la journée, Isaac parla à sa mère du merveilleux clown coloré qui sortait d'une boîte magique apparue comme par magie au pied de son lit. Sa mère cependant, n'en croyait pas un mot. Enfin, il convainquit sa mère de le suivre dans sa chambre pour qu'elle puisse voir Laughing Jack de ses propres yeux. Ils montèrent les escaliers, Isaac, tout excité, sautant une marche sur deux, et sa mère le pas lourd, le suivant de loin. Isaac ouvrit la porte de sa chambre.

"Vous voyez mère, il-..." Isaac s'arrêta. Il balaya la pièce qui ne contenait ni clown magique, ni mystérieux coffre en bois. La mère d'Isaac n'était pas du tout amusée. Elle regarda Isaac d'un regard menaçant. Ses genoux tremblaient. "M-mais mère... il était..." PAF ! La mère d'Isaac lui donna une grosse gifle en plein visage. Ses yeux devinrent humides, et sa lèvre commença à trembler. Il se sentait sur le point de tomber par terre. "STUPIDE GOSSE INSOLENT ! Comment oses-tu me mentir sur une idiotie pareille ! Qui voudrait être ami avec un ver inutile comme toi ! Reste dans ta chambre pour le reste de la soirée, et tu n'auras pas de dîner. Maintenant, tu ne dis plus rien, insolent ?!" Isaac réussit à avaler le nœud dans sa gorge pour murmurer une réponse, "M-merci m... " Sa mère le regarda pendant un moment avant de quitter la pièce, lui lançant un dernier regard de dégoût.

Isaac s'agenouilla et posa son visage sur le côté de son lit. Il versa de grosses larmes chaudes. "Qu'est-ce qui ne va pas, gamin ?" dit une voix. Isaac était sur le bord du lit où Jack était maintenant assis à ses côtés. "Qu-où étais-tu ?" murmura Isaac. Jack passa sa main dans les cheveux d'Isaac pour le réconforter et dit doucement "Je me cachais... Je ne peux pas laisser tes parents me voir... Sinon, ils ne nous laisseront plus jouer." Isaac essuya les larmes de ses yeux. "Hé gamin ! Je suis désolé d'avoir dû me cacher, mais je le faisais pour toi ! Parce que ce soir, on va pouvoir jouer à des tonnes de jeux ! C'est pas génial, ça ?!" dit Jack en souriant. Isaac regarda son copain et hocha silencieusement la tête. Un petit sourire apparut aux coins de sa bouche.

Cette nuit, Laughing Jack et Isaac jouèrent à beaucoup de jeux amusants. D'un geste de la main, Jack rendit tous les soldats d’étain d'Isaac vivants, lesquels se mirent à gambader partout dans la pièce. Isaac était émerveillé alors qu'il regardait ses jouets se déplacer les uns après les autres telle une joyeuse ribambelle. Puis, Laughing Jack et Isaac se racontèrent tout un tas d'histoires de fantômes fantasmagoriques. Isaac demanda à Jack s'il était lui-même un fantôme, mais Jack expliqua qu'il était plus du genre, entité cosmique. Tandis que les lueurs du matin étaient proches, Jack fouilla dans sa poche et en sortit un assortiment de délicieux bonbons. Isaac était en extase quand il porta ce festin coloré à sa bouche, c'était la première fois qu'il dégustait quelque chose d'aussi doux. Isaac avait l'air tellement heureux et riait si fort cette nuit que les choses semblaient être enfin rentrées dans l'ordre pour le petit enfant... Du moins jusqu'à l'incident qui eut lieu trois mois plus tard...

Il faisait très chaud et ensoleillé à Londres ce jour-là, ce qui était plutôt rare. Aussi, avec l'aide d'un certain ami, Isaac avait pu terminer ses travaux et était autorisé à aller jouer dehors. Les choses commencèrent assez simplement ; le duo était derrière la maison à jouer aux pirates, quand Isaac repéra le chat des voisins s'étant faufilé dans son jardin. "YEARGH ! Nous avons un espion ennemi en vue ! TOUS À TRIBORD" Isaac criait, captivé par la fantaisie et l'imagination. "Yo ho! Je vais l'attraper capitaine Isaac!" S'écria le premier-lieutenant Jack avec sa meilleure voix de pirate. Jack tendit le bras à travers le jardin et prit le félin sans méfiance, qui commença à lutter avec vigueur. "Ne le laissez pas s'en tirer JACKIE, ou on le fera passer par-dessus la planche !"

Isaac resta perplexe un moment. L'emprise de Jack sur le chat avait l'air de se resserrer de plus en plus... Ses bras se prolongèrent comme un anaconda s'enroulant autour du félin qui luttait pour sa vie. Les bras de Jack continuaient à presser l'animal, en appuyant sur l'air de ses poumons. Les yeux de la pauvre bête commencèrent à gonfler. Ils sortirent de leurs orbites avec un bruit sec. Jack relâcha rapidement la créature de sa main qui gisait à présent sans vie au sol. Il y eut un lourd silence, à la vue du corps mutilé du chat.

Le silence fut finalement rompu par un rire désopilant... venant d'Isaac... "Ahahahaha ouah ! Je suppose que les chats n'ont pas vraiment neuf vies ! AHAHAHA ! " s'écria Isaac, les yeux presque en larmes. Laughing Jack commença à rire aussi : " Hé hé. Ouais... Mais ça ne va pas te causer des ennuis si ta mère trouve le chat de ton voisin mort dans ton jardin ?" Le rire d'Isaac s'arrêta. "Oh non ! Tu as raison ! Euh... je vais aller le jeter dans la cour des voisins." Dans la panique, Isaac saisit une pelle à proximité, ramassa le cadavre du chat, qui s'avéra plus lourd qu'il ne l'aurait imaginé, et il le lança par-dessus la clôture. Il était à présent de retour dans la cour des voisins. Jack et Isaac regagnèrent la chambre en trombe.

Cela arriva environ une heure plus tard. Isaac avait les oreilles percées par les cris de sa mère, hurlant son nom depuis le rez-de-chaussée. Ni Jack, ni Isaac ne dirent un mot. Le garçon se glissa dans les escaliers, seul face au terrible sort qui l'attendait. Jack pouvait entendre de nombreux cris d'en bas, mais prit la décision de rester à l'étage. Après une trentaine de minutes, Isaac, les yeux larmoyants, monta lentement les escaliers.

"Eh bien ?" demanda Jack nerveusement. Isaac, au sol, commença à parler. "Je... J'ai essayé de lui dire que c'était toi qui avais tué le chat... Elle ne me croyait pas... elle... dit que tu n'es pas réel..." Jack fronça les sourcils, conscient que tout cela était de sa faute. Isaac utilisa sa manche pour essuyer ses larmes.

"Je vais être envoyé à un pensionnat... Je pars ce soir... et tu ne peux pas venir avec moi..." Jack prit un air choqué. "Quoi ?! Moi, je ne peux pas venir ? Où vais-je aller ?". Isaac ne répondit rien.

"... Retourner là-dedans? Mais je ne pourrai pas sortir jusqu'à ce que..."

Jack s'arrêta. Isaac se leva, des larmes coulant sur son visage. "Jack... Je promets que je reviendrai pour toi dès que je pourrai." Jack regarda la boîte, puis de nouveau Isaac. "Et je serai là à t'attendre, gamin." Jack sourit, une unique larme chargée de regrets coula sur sa joue. Il se dirigea vers la boîte et disparut dans un nuage de fumée. Ainsi, il était de retour dans sa prison de bois jusqu'au retour d'Isaac.

Cette nuit, Isaac fut envoyé pour la première fois à l'école. De même, pour la première fois, Laughing Jack put ressentir la véritable corvée qu'était la solitude. Même lorsqu'il était piégé dans sa boîte, Jack était capable de percevoir les choses qui se passaient autour de lui. Chaque jour, il attendait son ami, et chaque jour, la chambre vieillissait et prenait plus la poussière. Laughing Jack était le meilleur ami d'Isaac pour la vie et maintenant il attendait jour après jour, mois après mois, de se réunir avec lui. Les parents d'Isaac vivaient bel et bien dans la maison, mais ne franchissaient jamais la porte de la chambre de leur petit garçon. Les uniques fois où il avait vent de leur présence était lorsqu'une de leurs disputes interminables commençait ; lesquelles étaient plus virulentes encore, sachant que le petit Isaac n'était plus là pour assurer un minimum de retenue chez ses parents. La vie de Jack se résumait désormais à la mélancolie et le désespoir grandissant. Au fil des années, les couleurs vibrantes de Jack prirent des teintes de plus en plus fades, mornes, jusqu'à se fondre dans un flou monochrome de noir et de blanc. Pris au piège tout seul... dans une attente éternelle et espoir maigrissant un peu plus jour après jour.


Treize ans passèrent avant que le père d'Isaac, particulièrement ivre, ait une altercation avec sa femme, conformément à la triste routine qui s'était installée des années auparavant. De terribles violence physiques survinrent à nouveau au coeur de la dispute, mais cette fois-ci, la pauvre femme ne sut pas se relever. Le père d'Isaac avait ainsi battu sa femme jusqu'à la mort. Il fut condamné à la pendaison le lendemain. Ses deux parents à présent morts, Isaac héritait de la vieille maison poussiéreuse, où il avait passé la première moitié de son enfance.

Laughing Jack fut très surpris lorsqu'il entendit les pas de son vieil ami dans les escaliers menant au grenier pour la première fois en tant d'années. Mais ce retour n'était pas tout-à-fait tel que Jack avait espéré. Isaac avait l'air... différent. Non seulement il était plus âgé, mais il semblait aussi posséder cette étrange lueur sombre sur son visage. Il n'était plus le jeune garçon plein d'espoir et curieux que Jack avait connu. Jack attendit avec impatience Isaac pour le libérer de la prison où il avait attendu si longtemps, mais la boîte de Jack était toujours là, intacte, sur une étagère dans le coin de la pièce avec tous les autres bibelots poussiéreux indésirables. Isaac avait complètement oublié son vieil ami, avait rejeté tous ses rêves de l'enfance. Étonnamment, Jack ne put verser une seule larme à la perte de son plus cher ami. Il était vide. Treize ans d'attente et une terrible déception laissaient le clown à présent indifférent. Jack resta dans sa boîte, incolore et sans émotion.

Le lendemain, Isaac se rendit à son travail de tapissier faire des réparations de meubles pour les gens de Londres. Jack attendait comme à l'ordinaire. Il sursauta lorsque, quelques heures plus tard, un Isaac ivre rentra chez lui et trébucha dans l'escalier de sa chambre ; mais cette fois, il avait un humain avec lui. C'était une amie qu'Isaac avait ramassée au bar plus tôt ce soir. Elle était jolie avec des cheveux blonds, les yeux bleus saphir, et un sourire qui pourrait faire fondre les cœurs. La curiosité de Jack fut piquée par la mystérieuse invitée d'Isaac.

"Qui est-ce ? Un nouvel ami ? Pourquoi Isaac aurait-il besoin de nouveaux amis ? Je pensais que j'étais le seul ami d'Isaac." murmura Jack, confus. Isaac et son amie s'assirent sur le lit et bavardèrent au sujet de la vie à Londres. Isaac fit une blague à propos de ses collègues de travail et tous deux se mirent à rire. Jack était envouté par le charme de la nouvelle amie d'Isaac. Il la trouvait drôle, affirmée et très gentille.

Plus tard dans la soirée, Isaac et la jeune fille se turent pour se regarder profondément dans les yeux, et se rapprochèrent pour un baiser. Jack resta perplexe devant cette étrange démonstration d'affection. Le baiser devint plus intense. Isaac passa sa main le long de la cuisse pâle de la jeune fille, cachée en partie par sa jupe plissée. Celle-ci exprima son non consentement en se reculant brusquement dans le but de refréner son partenaire. Isaac persista et renouvela son geste, en glissant sa main jusqu'à sentir des sous-vêtements soyeux. Le coeur battant, la femme se leva soudainement et lui asséna une gifle.

Les yeux d'Isaac virèrent au sombre. Il dévisagea la femme. Sa passion ivre se transforma en colère. Le visage de la femme se crispa d'horreur lorsqu'elle vit l'expression d'Isaac, en ébullition. "Sale pute !" cria Isaac. Il logea son poing en plein dans le visage de la jeune fille. Les yeux de Laughing Jack s'élargirent. Il vit de longues traînées rouges jaillissant du nez de la jeune fille. "Quel sorte de jeu ça peut être...?" pensait-il innocemment.

Isaac saisit d'une main ferme le poignet de la jeune fille et déchira sa culotte de l'autre. La jeune fille terrifiée s'entreprit à lutter contre son agresseur. Isaac, impassible, caressait ses seins, saisissant sauvagement ses cheveux et forçant sa langue dans la gorge de la jeune femme en sanglots, qui criait de toutes les forces qui lui restaient. Jack regardait la macabre scène avec de grands yeux curieux. La fille apeurée tomba du lit et sentit le sol. Elle se précipita alors vers la porte. Isaac prit rapidement une embardée vers l'avant et réussit à attraper son jouet en fuite en agrippant sa robe. La remontant, il prit le chandelier au large de la table de chevet à son côté, et de toutes ses forces, il défonça le crâne de la jeune femme, qui s'ouvrit comme une pastèque mûre. Du sang épais giclait à travers la pièce. Le corps de la jeune fille convulsa sur ​​le sol pendant plusieurs secondes avant de demeurer complètement inanimé.

Du sang partout. Quelques gouttes parvinrent même sur la boîte de Jack, qui n'avait pas manqué une miette de ce spectacle hors du commun. Pour la première fois en treize longues années, un sourire commença à revenir sur le visage de Jack, un rire soudain s'échappa de ses lèvres froides, puis un autre, et un autre, jusqu'à ce que Jack hurle de rire à l'intérieur de sa boîte scellée. "Quel jeu vraiment fascinant !" dit Jack en voyant les cheveux blonds dorés de la jeune fille imprégnés de sang foncé.

La folle adrénaline commençait à redescendre pour Isaac. Il réalisa qu'il devait à présent se débarrasser du corps. Il prit le cadavre de la jeune fille dans ses bras et se laissa tomber sur le lit. La laissant là, il quitta la pièce en prenant soin de verrouiller la porte derrière lui avant de déserter la maison.

Il revint plusieurs longues heures plus tard et entra dans la chambre avec une poubelle en métal et son sac d'outils d'ameublement de travail. Il effaça ensuite les traces de sang du vieux bureau en bois, ainsi que celles sur le mur opposé à la porte. Il traîna ensuite le lit avec le cadavre ensanglanté au milieu de la pièce. Isaac eut de cette sorte de l'espace pour "travailler", mais il avait également donné à Jack un siège au premier rang pour l'ensemble du spectacle. Jack regardait avec un grand sourire inaltérable comment Isaac jouait avec son nouveau jeu du cadavre souillé. Une fois qu'Isaac eut tout mis en place, il se mit au travail. D'abord, il vida le contenu de son gros sac à outils noir sur la table de travail derrière lui . Un assortiment de couteaux, marteaux, pinces et autres instruments étaient désormais posés devant lui. Son premier choix fut un couteau d'ameublement, dont il se servit pour enlever la peau du corps. Ce tissu fut ensuite placé sur des supports pour être transformé en cuir. Cela fait, Isaac utilisa une scie pour séparer les bras, les jambes et la tête, du corps mutilé. Après avoir rempli la poubelle avec l'eau de javel et autres produits chimiques, il y trempa les membres jusqu'à ce que l'os soit dépouillé de la chair. Isaac pêcha les ossements dans le jus de cadavre et les posa sur la table de travail, puis dans la soirée, il mit la poubelle à l'extérieur et jeta les restes pourris dans les égouts de Londres, destinés à se noyer dans un océan de détritus et autres immondices.

Pendant les trois prochains jours, Jack regarda Isaac avec étonnement. Il faisait un fauteuil vraiment grotesque avec les restes de la jeune fille. Les pieds arrière étaient faits de fémurs, tandis que les pieds avant étaient en tibias. Un cadre en bois était utilisé pour la base et l'assise, mais le rebord du support était fait de vertèbres. Les os du bras avaient été utilisés comme accoudoirs, et avaient été fixés en place par quelques côtes. Les tendons étaient utilisés comme renforts avec les cheveux blonds d'or tressés en une doublure pour la base. Au sommet de ce fauteuil de l'enfer était placé le crâne qui avait appartenu à la jeune fille aux cheveux blond doré, aux yeux de saphir, et au sourire qui pouvait faire fondre les cœurs. Isaac semblait très satisfait de son travail, et Laughing Jack était vraiment impressionné par la créativité délirante de son ancien camarade. Après cette fameuse nuit, Isaac ne toucha plus jamais une goutte d'alcool, car il possédait maintenant une soif bien plus macabre.

Dans les semaines suivantes Isaac apporta plusieurs améliorations à son petit atelier des horreurs. Il enleva le matelas du lit et posa une rangée de planches de bois épais à la place, puis il attacha des bras et des jambes au fond et sur les côtés. Isaac n'avait besoin que d'une dernière chose avant de planifier une autre partie grotesque. Il avait travaillé sur elle pendant sept jours consécutifs : la main sculptée dans le bois. Une fois la couche de peinture blanche appliquée, la création d'Isaac fut complète. C'était un masque ressemblant à quelque chose que l'on peut porter à un bal masqué. Il avait un front plissé et un long nez de troll, qui lui permettrait de frapper sans crainte dans le cœur de ses clients bien-aimés. Avec son nouveau visage et la salle transformée en un nid d'assassinat, il était enfin temps pour Isaac Lee Grossman de ramener à la maison un nouveau compagnon de jeu. La nuit suivante, Laughing Jack regarda Isaac Grossman, masqué, piétinant les escaliers, emportant avec lui un grand sac de jute avec tous ses hôtes à l'intérieur. Il vida le sac sur son lit de torture, et laissa échapper un jeune garçon attaché et bâillonné. Il avait très peur, et probablement à peine 5 ou 6 ans. Isaac dénoua rapidement les liens du garçon et lui coinça les pieds et les bras dans le cadre du lit d'acier. Les larmes coulaient sans cesse sur le visage impuissant du garçon. Isaac posa ses outils sur l'établi. Il revint en brandissant une paire de tenailles rouillées, et, sans perdre de temps, il glissa la mâchoire inférieure de la pince sous l'ongle de l'index droit et serra fermement. Les yeux de l'enfant tremblaient, il commença à supplier Isaac de le laisser s'en aller. Isaac sourit en arrachant péniblement le premier ongle. Le garçon cria de toute son âme, se tordant de douleur sur les planches de bois, le sang commença à jaillir de son doigt. Isaac plaça ensuite la pince sur le majeur, tenant fermement l'ongle avec ses tenailles rouillées. Une fois encore, il tira la pince en arrière, mais cette fois l'ongle ne s'arracha qu'à moitié. Le garçon cria de douleur, ses doigts se crispaient, en sang. Isaac donna un autre coup sec. Le reste de l'ongle s'arracha, mais pas sans une bonne dose de peau avec. Même Isaac était un peu rebuté par ce spectacle douloureux, contrairement à Laughing Jack qui caquetait de joie à la vue de ce spectacle passionnant. Isaac retourna à l'atelier et troqua la pince pour un grand marteau de fer. Il fit ensuite son chemin vers le pied du lit de torture, où, d'une main, il enfonça la jambe gauche de l'enfant .

Il souleva le marteau au-dessus de sa tête. Le jeune garçon continuait de pleurer, alors, de toutes ses forces, Isaac abattit le marteau vers le bas nu du garçon, brisant l'os avec un craquement. L'enfant convulsait dans la douleur et poussait des cris stridents, le bâillon de tissu attaché étroitement à son visage l'étouffait. Comme l'enfant subissait une douleur intense, Isaac plaça le marteau sur le lit en bois et retourna une fois de plus à l'atelier où il se munit d'un long couteau pointu. Sans tarder, il commença à sculpter les mots "ver inutile" dans la poitrine de l'enfant. Quand il eut fini, le garçon était à peine conscient. Isaac s'agenouilla alors et murmura à l'oreille de l'enfant:

"C'est ce qui arrive aux enfants pourris qui font face aux gens désagréables..."

Les yeux de l'enfant étaient remplis de larmes. Isaac se mit à tailler la peau du visage de l'enfant, mais il fut surpris de voir que le garçon s'accrochait encore à la vie. L'enfant mutilé regarda Isaac avec ses grands yeux ronds, ce qui acheva de remplir son cœur noir de rage et de haine.

"...MÊME SANS VISAGE TU ES TOUJOURS LAID COMME UNE MERDE !"

Isaac cria, ramassa le marteau au pied du lit et commença à frapper le crâne du pauvre garçon qu'il brisa encore et encore, jusqu'à ce qu'il n'en reste qu'une masse de chair sanguinolante. À travers la pièce, Jack riait joyeusement : cette représentation avait comblé ses attentes.

Le second convive d'Isaac était une vieille femme aveugle qu'il avait invité pour boire le thé. Il lui fallut à peu près cinq minutes pour réaliser que la chaise sur laquelle elle était assise était faite de restes humains, et encore six minutes pour trouver l'escalier. Elle tomba en agitant les bras et en poussant des cris stridents. Isaac décida de mettre fin à cette cruelle plaisanterie, avec une méthode pour le moins radicale : il lui enfonça du verre à travers l'orbite.

Après cela, il ne resta plus qu'une petite fille qu'il avait gavée de verre brisé avant d'utiliser son ventre comme un punching-ball. Au fil des semaines de plus en plus d'âmes malchanceuses virent leur fin dans le grenier d'Isaac Grossman. La personnalité de Grossman était devenue plus sombre et sadique, et Jack suivait son évolution alors qu'il pourrissait dans sa boîte poussiéreuse... jusqu'à une nuit très froide de décembre.

Les clous rouillés qui tenaient le plateau de bibelots oubliés cédèrent enfin, tout s'écrasa au sol. Isaac entendit le bruit sourd d'en bas, et monta en vitesse au grenier. Il marcha sur le plancher souillé de sang vers le plateau tombé. Isaac écarta certains des bibelots qui étaient tombés, quand il vit finalement le Jack in a box de son enfance. Isaac reconnut à peine la vieille boîte en lambeaux. Il la ramassa et enleva une partie de la poussière. Ensuite, par une quelconque nostalgie, il saisit la boîte et commença à tourner la manivelle. Un horrible son de "Pop Goes The Weasel" sortit de la vieille boîte, et comme il avait fait pour la première fois, Isaac chanta le dernier verset, "Pop Goes the Weasel"...

Le haut de la boîte s'ouvrit, mais rien ne se passa, elle était vide. Il jeta la vieille boîte à la poubelle avec les autres bibelots cassés, et alla ouvrir la porte pour retourner en bas. Mais il était bloqué. Isaac tira sur la poignée, mais la porte ne voulait pas bouger. À ce moment, il entendit une voix rauque horrible crier derrière lui. "IsSsaAac..." Une secousse froide parcourut l'échine d'Isaac et les poils sur son dos se dressèrent, il se retourna lentement... Balayant du regard toute la pièce jusqu'à la poubelle, il finit par voir un cauchemardesque Laughing Jack. Il était complètement monochrome, ses cheveux noirs pendaient en mèches tordues, des dents pointues décoraient son sourire tordu, et ses bras pendaient comme ceux d'une poupée de chiffons avec ses longs doigts grotesques tombant au sol. Puis, d'un ton froid, sa voix rauque de clown diabolique parla. "Que c'est bon d'être libre !... je t'ai manqué, Isaac ?" Isaac était paralysé par la peur. "M-mais... je croyais que tu n'étais pas réel... mais... IMAGINAIRE..." bégaya Isaac.

Jack répondit par un long ricanement effroyable. "HAHAHAHA ! Oh, je suis tout à fait réel gamin... En fait, j'ai attendu si longtemps pour cette journée... pour que je puisse jouer avec mon meilleur ami pour la vie... Une. Dernière. Fois."

Avant qu'Isaac ne puisse répondre, les longs bras de Jack se tendirent à travers la pièce et il les enroula autour de ses jambes. Le clown tordu commença à le rapprocher de lui, le traînant vers ​​son lit de torture en bois. Les ongles d'Isaac grattaient le sol tout le long de la chaussée. Ignorant cette faible résistance, Jack attrapa rapidement quatre clous de fer longs de trois pouces dans l'atelier et les pressa droit sur les mains et les pieds d'Isaac, le clouant au lit.

Isaac grogna de douleur comme il criait à son ravisseur: "AAAH ! VA TE FAIRE FOUTRE! PUTAIN DE CLOWN !"

Jack se contenta de rire. "Si tu ne peux pas dire quelque chose de gentil, alors ne dis rien du tout !" Jack mit ses longs doigts crochus dans la bouche d'Isaac, saisit fermement sa langue, et l'étira aussi loin qu'elle pouvait aller. Le clown attrapa ensuite son dos, saisit un couteau pointu de la table et commença lentement à couper la chair de la langue d'Isaac, ce qui lui arracha un hurlement de douleur. Meurtrie, la bouche d'Isaac commença à déborder de sang. Jack poussa un petit tube de métal dans la gorge d'Isaac. À ce stade, Isaac était déjà dans une grande souffrance, et avait les yeux fermés serré pour éviter de voir les horreurs nauséabondes qu'on lui faisait sur son corps.

"Allez, ce n'est pas drôle si tu ne regardes pas !" dit Jack d'un ton ludique, mais Isaac garda les yeux fermés. Jack soupira. "Comme tu voudras."

Jack maintint ensuite l'un des yeux d'Isaac ouvert. Il allongea son bras et prit quelques longs hameçons pointus dans l'atelier. Lentement, Jack poussa l'extrémité pointue du hameçon à travers la paupière supérieure droite et attacha la pointe au niveau du sourcil, pour le laisser en permanence ouvert. Puis il sortit un second crochet, poussant à travers la paupière inférieure, et l'épingla à la joue. Jack répéta le processus pour l'autre œil, pour qu'Isaac ne manque rien de l'action. Laughing Jack prit ensuite le même couteau qu'il avait utilisé pour arracher la langue d'Isaac et commença à se concentrer sur l'élimination des lèvres. Jack trancha soigneusement deux longues bandes de chair, montrant ses dents et  gencives complètement exposées.

"Hmm... On dirait que quelqu'un ne se brosse pas les dents..." Jack ricana dans sa barbe et saisit le marteau. Isaac le suppliait d'arrêter, mais seuls des gémissements s'échappaient de sa gorge. Jack souleva le marteau en l'air et, avec un sourire tordu, il frappa le bras et les dents d'Isaac qui éclatèrent comme de l'argile sèche. Jack laissa tomber le marteau et se mit à hurler de rire. Il déchira la chemise d'Isaac, prit le plus gros couteau, et il découpa le haut de la poitrine d'Isaac de haut en bas, jusqu'à l'estomac. Isaac gémit. Le monstre hilare enfonça ses doigts misérables sous la peau de la poitrine d'Isaac, et la pela jusqu'au dos, pendant qu'Isaac observait le processus en direct.

Jack commença ensuite à sortir les intestins d'Isaac de la même manière qu'un magicien qui se met à tirer une série de tissus colorés de sa poche. Jack commença à souffler de l'air dans l’intestin. Une fois gonflé, il le tordit de sorte à faire un caniche, et il s'écria en un petit rire bruyant: "Je peux faire les girafes aussi !"

Isaac restait toujours dans la douleur et le choc. La créature posa doucement le ballon horrible à côté de la tête d'Isaac. Pour son prochain tour, Jack enfonça sa main dans la cavité de l'estomac ouvert d'Isaac et tira sur l'un de ses reins. Le tenant dans sa main, Jack se tourna vers son ami captif et haussa les épaules en déclarant: "Les reins ne sont pas vraiment mon truc..."

Il jeta l'organe de côté. Laughing Jack remarqua qu'Isaac commençait à dériver dans la mort. "Déjà fatigué ? Pourquoi ? On était presque au grand final !", s'écria Jack. Il sortit une aiguille de sa manche. "Ça devrait te requinquer un peu." Jack enfonça l'aiguille dans la rétine d'Isaac et injecta le liquide dans son orbite de droite. Jack se tortilla et tordit l'aiguille dans le globe oculaire de son ancien camarade de jeu.

Isaac était toujours en vie. Avec un petit rire sinistre, Jack tira l'aiguille, tirant sur le globe oculaire avec elle. L’œil droit d'Isaac était accroché hors de son support et pendait sur le côté de son visage . Jack sourit : "Eh bien, maintenant que j'ai ton attention... " Le clown prit ensuite son long index tordu et le poussa dans un trou dans l'estomac d'Isaac. Jack baissa la tête vers la cavité de la poitrine ouverte et étendit sa bouche béante. En quelques secondes, un torrent de cafards commença à ramper hors de la gueule du clown, se renversant sur la poitrine ouverte d'Isaac. Ils rampèrent tous dans la petite ouverture que leur offrait l'estomac. Comme le ventre d'Isaac devenait gonflé d'insectes, les cafards commencèrent à se précipiter vers sa gorge, pour sortir de sa bouche et de la cavité nasale .

Isaac était à quelques centimètres de la mort quand son ravisseur s'agenouilla à côté de lui et lui parla à l'oreille: "Ça faisait longtemps gamin, mais je crois que tout est fini maintenant. Pas besoin de pleurer. Cependant, j'ai l'intention de répandre mon amitié à tous les enfants solitaires du monde", lui dit Jack.

Il enfonça son bras dans la poitrine d'Isaac et tira son cœur encore battant. La vie d'Isaac passa une dernière fois devant ses yeux. Il vit sa mère, son père, le pensionnat, ses victimes, et la dernière pensée qui flotta dans son esprit fut ce Noël très spécial où il s'était réveillé pour trouver la magnifique boîte de bois sculpté qui contenait son tout premier ami...

Des rumeurs disent que lorsque la police trouva finalement le corps pourri d'Isaac Grossman infesté de cafards, c'était alors la veille de Noël. Et même si son visage avait été défoncé et déchiré en morceaux... il semblait presque... heureux.


Réorganisé par Eimeone

Apparence[]

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Laughing Jack est de base un clown multicolore, possédant une palette de couleurs vibrantes, des cheveux roux, et un sourire mimi.

Il devient par la suite monochrome ; il a des cheveux noirs, et des iris blanches. Il possède en guise de nez un cône rayé noir et blanc. Il mesure environ 2 mètres. Son corps est entièrement fait de mousse, il semble donc n'avoir aucun sexe.

Capacités[]

Il est capable de voyager à travers de la fumée noire. Ses bras peuvent s'enrouler autour d'un corps, comme deux longs serpents.

Personnalité[]

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Laughing Jack était un clown adorable, souriant, candide, pour le moins incapable de faire du mal aux enfants. Un ami prêt à tout pour redonner le sourire au petit Isaac.

Dû au changement de personnalité d'Isaac, il est devenu narcissique et malsain. Il est très sadique, mauvais joueur, horrible, et morbide.

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